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Gilets jaunes : les premières sanctions (sévères) tombent

Par Rodrigue Gozoa
il y a 2 ans
(très populaire)
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Après une pétition contre Zemmour, une “gilet jaune” cible de messages racistes sur la toile

Des gilets jaunes(archives) Photo : Thomas Samson / AFP

France : des gilets jaunes lancent une offensive contre le préfet de Paris

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La protestation des gilets jaunes continuent et s’amplifient, prenant depuis quelques jours les allures de désobéissance civile avec des émeutes et une volonté manifeste d’affrontement avec l’autorité. Pour le gouvernement de Macron, l’heure est à la répression.Samedi 1er Décembre fut un samedi noir pour l’administration publique de Puy-en-Velay, dans la Haute Loire. Les ‘’gilets jaunes’’ entrant en affrontement direct avec les forces de police, n’ont pas hésité à mettre le feu à la préfecture et quelques autres services voisins, rapporte la presse française. Une vidéo des échauffourées publiée sur le net, donnant l’impression de manifestations post-électorales en pays sous-développés.

« Outrage à des personnes dépositaires de l’autorité publique » et « rébellion »

Tels sont en substance les plus récurrents des motifs d’inculpation, selon la presse nationale, de la vaste vague de répression initiée par l’administration de Macron contre l’extrémisme du mouvement. « outrage à des personnes dépositaires de l’autorité publique » est selon L’article 433-5 du Code pénal français un ensemble de « paroles, gestes ou menaces, les écrits ou images de toute nature non rendus publics ou l’envoi d’objets quelconques adressés à une personne chargée d’une mission de service public, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont elle est investie ».

Lorsqu’il est commis en réunion, l’outrage prévu peut-être puni de six à douze mois d’emprisonnement et de 7 500 à 15 000 euros d’amende. Au Puy-en-Velay, à Avignon, à Nantes, à Tarbes, l’instruction judiciaire n’aurait pas fait dans la complaisance, inculpant au total 26 ‘’gilets jaunes’’ avec une mention spéciale pour la ville de Marseille où des actes de vandalisme, ont écopé de plusieurs mois de prison ferme.

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