Luigi Di Maio, le ministre Italien du Développement économique, du Travail et des Politiques sociales a tenté de justifier sa rencontre avec les représentants des « gilets jaunes » à Montargis. Dans une lettre qu’il a rendue publique par le biais des médias, il a exprimé dans un premier temps, toute la considération du gouvernement Italien pour la France avant de se prononcer sur la crise sociale qui est en cours dans le pays. Le dirigeant du Mouvement 5 étoiles a indiqué malgré les derniers développements de ce qu’on peut appeler une « crise diplomatique entre la France et l’Italie » que « l’Italie et le gouvernement italien considèrent la France comme un pays ami et son peuple, avec sa tradition démocratique millénaire, comme un point de référence, au niveau mondial, dans les conquêtes des droits civils et sociaux ». Revenant sur l’un des sujets objets de mésentente entre le gouvernement français et le sien, il s’est dit marqué par les « les revendications du manifeste des « gilets jaunes ».
Le citoyen au centre des revendications selon Luigi Di Maio
Selon lui, les thématiques abordés transcendent les rivalités politiques. Car à l’en croire, ces sujets mettent uniquement le citoyen au centre des débats. On peut sans risque de se tromper dire que la crise diplomatique qui sévit entre la France et l’Italie a connu un pic après cette fameuse rencontre avec les leaders de ce mouvement de protestation. La réaction des autorités françaises a été de demander le rappel de son ambassadeur le jeudi dernier. L’officiel Italien avant cette rencontre avait également taclé le gouvernement français par ses accusations relatives à une supposée domination qu’il continue d’exercer sur certains pays Africains par le biais du Franc CFA.
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