Les choses se corsent pour le député et président autoproclamé du Venezuela, Juan Guaido. Dans son bras de fer avec le président ‘’Chaviste’’ Nicolas Maduro, sur fond de guerre des alliances ; Guaido parti favori, se voyait refusé ; lundi dernier le soutien au combien important de l’Union européenne, à cause d’une opposition de l’Italie.
Un soutien de taille
L’UE dans sa grande majorité, environ une quinzaine de pays aurait aaporté son soutien au coup de force de Guaido et reconnu unilatéralement comme président par intérim du Venezuela. Restait donc pour les pays européens de pouvoir de façon consensuelle, s’accorder sur la ligne à tenir et les actions à mener dans le soutien à ‘’la démocratie’’ au Venezuela.
Seulement pour l’Italie et notamment pour le M5S du Vice-Premier ministre italien Luigi Di Maio ; Juan Guaido ne pouvait être reconnu car n’ayant pas été « élu par le peuple ». En outre, soufflait un ténor du M5S « La quantité de démocratie qu’on cherche à exporter dans un pays est toujours directement proportionnelle à la quantité de pétrole qui s’y trouve ». Il a exigé à son pays de rester neutre même si la tendance serait contraire pour la Ligue de droite de Matteo Salvini.
Un soutien de taille à ne pas perdre
Tel serait selon la presse internationale, le leitmotiv de la correspondance adressée par Guaido à Salvini, le sollicitant de bien vouloir recevoir et rencontrer ses émissaires qu’il enverrait très prochainement pour qu’ensemble, ils puissent discuter de son « plan électoral visant à rétablir la démocratie au Venezuela par le biais d’élections libres et transparentes et à résoudre la crise humanitaire actuelle ».
Pour Guaido le soutien de l’Europe tout aussi important que ce lui des USA, lui garantirait dans l’immédiat un appui logistique important mais aussi un espace commercial sûr en cas de reprise économique.
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