Avec Brigitte Bardot, les polémiques se succèdent et semblent ne jamais pouvoir se terminer. La défenseure de la cause animale est très remontée contre les habitants de la Réunion qu’elle accuse de maltraiter les animaux. Mais elle va plus loin et se déchaîne sur les habitants de l’île qu’elle traite d’autochtones et de sauvages. Dans une lettre ouverte au préfet de la Réunion, la protectrice des animaux s’indigne du sort réservé aux animaux sur cette île d’Outre-Mer.
Dans un courrier très critiqué sur la toile, elle dénonce la divagation des animaux et d’autres pratiques culturelles ayant régulièrement cours sur l’île : « vous autorisez les fêtes indiennes Tamoul avec décapitations de chèvres et boucs en offrandes à leurs Dieux et dont les abats jetés à la mer attirent les requins… d’où les attaques »
Des sauvages avec des réminiscences de cannibalisme
Brigitte Bardot n’y va pas par quatre chemins et ne ménagent guère ses compatriotes de la Réunion qu’elle désigne par « l’île du diable ». Elle traite les réunionnais d’autochtones ayant gardé « leurs gênes de sauvages » et totalement réfractaires aux lois françaises sur les animaux.
Elle trouve que les réunionnais et leurs pratiques culturelles continuent de nourrir « des réminiscences de cannibalisme des siècles passés». Mais cette attaque de Brigitte Bardot fortement teintée de racisme ne devrait pas rester sans suite car de nombreuses voix s’élèvent pour exiger une plainte de la préfecture contre la défenseure des animaux.
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