Les relations entre le vice-président Joe Biden et le leader Nord-coréen ne seraient au beau fixe. Pour le leader américain démocrate, l’homme fort de Pyongyang ne serait qu’un dictateur de plus et pour Kim Jung Un, Biden serait un homme de peu de clairvoyance. Entre les deux hommes, la faveur du président américain serait étonnamment acquise à Pyongyang.
Quand Trump désavoue Biden
Selon la presse internationale, Biden et Kim se seraient engagés dans des joutes verbales depuis quelque jours ; au point pour le leader nord-coréen Kim de dire l’ancien vice-président et leader démocrate pour les élections présidentielles de 2020, qu’il était « un imbécile de faible QI ». Et ces derniers jours, alors que la président Donald Trump se trouvait à Tokyo, publiait ; « Kim Jong Un a déclaré que Joe Biden était un individu à QI faible. Il l’est probablement, si l’on se réfère à son bilan ».
Il n’en avait pas fallu plus pour le bureau du candidat démocrate de dénoncer, un coup en dessous de la ceinture ; « un manque de dignité » selon Kate Bedingfield, directrice de campagne adjointe de l’ancien vice-président.
Selon la presse américaine ; l’équipe de Biden n’aurait attendu que quelques minutes après l’atterrissage d’Air Force One et le retour de Trump à Washington pour réagir au tweet du président ; « Être sur le sol étranger, le jour du Memorial Day, et se ranger à plusieurs reprises avec un dictateur meurtrier contre un collègue américain et ancien vice-président,(…) est en deçà de la dignité du bureau », aurait déclaré Kate Bedingfield.
Mais, rapporte les médias locaux ; un des principaux collaborateurs de la campagne présidentielle Tim Murtaugh, directeur des communications pour la campagne de Trump aurait répondu au groupe de Biden, déclarant que c’était osé de la part de Biden de se plaindre, lui qui avait également critiqué « le président Trump alors qu’il se trouvait à l’étranger plus tôt cette année en Allemagne ». Faisant allusion, selon les médias, à la visite de Biden en Allemagne plutôt en février de cette année, où l’homme aurait critiqué la politique de tolérance zéro de l’administration Trump à la frontière américano-mexicaine, comme étant une politique « d’embarras »
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