La nouvelle n’a fait qu’un tour des principautés et autres chérifats arabes d’orient. La princesse Haya Bint al-Hussein, fille du défunt roi Hussein de Jordanie et sœur de l’actuel roi de Jordanie, et actuel épouse du Cheikh Mohammed ben Rachid Al Maktoum, émir de Dubaï, aurait dans la journée de ce 23 juin, pris la poudre d’escampette.
La princesse en fuite en Grande Bretagne
Les rumeurs sur l’évasion de la princesse publié ce dimanche 23 juin par un site arabe, aurait d’abord fait état de la présence de la princesse en Allemagne ; d’ailleurs ce serait avec la complicité d’un diplomate allemand que la princesse aurait réussi à sortir incognito du pays ; puis ensuite en Grande Bretagne. Cette fugue princière ne serait pas fortuite, et le choix de l’Angleterre nullement anodin.
C’est que la princesse Haya Bint al-Hussein, qui aurait du sang britannique dans les veines, un sang qu’elle aurait hérité de sa mère, et posséderait non loin du palais de Kensington un pied à terre de près de 100 millions de USD, acquis grâce en partie à la bonne amitié de sa famille avec la famille royale d’Angleterre ; en aurait eu marre. Elle aurait demandé à son arrivée sur le territoire, asile pour violation de ses droits humains et menaces sur sa sécurité et celle de ses enfants. Car Hayat ne serait pas arrivée seule à Londres, son fils Zayed 7 ans et sa fille Al jalila 11 ans, l’accompagnaient. Les raisons de cette fugue sont pour le moment pas assez clair.
Une affaire délicate pour le département ministériel des affaires étrangères anglais, qui au-delà des questions politiques, l’époux outré, est le cheikh d’une métropole influente du monde arabe ; des questions économiques, les investissements de l’émirat étant non négligeables dans le tissu économique du pays ; et des questions diplomatiques, les familles royales ayant de tous temps gardé de très bonnes relations personnelles ; le Foreign Office aurait décidé de traiter cette affaire comme un différend entre ‘’gens bien’’.
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