Avant même qu’il ne soit élu à la présidence américaine, Donald Trump avait fait de l’immigration clandestine son principal cheval de bataille. Il avait promis de freiner l’afflux de migrants clandestins sur le sol américain. Arrivé à la tête de la maison blanche, Trump a tout fait pour mettre en oeuvre l’une de ses principales promesses de campagne.
Pour mettre fin à l’immigration clandestine aux frontières des Etats-Unis, notamment à la frontière mexicaine, le milliardaire Républicain avait pour but de construire un mur tout le long de la frontière américano-mexicaine. Cependant, le locataire de la maison blanche s’est heurté au refus des Démocrates. Le 14 juillet dernier, Donald Trump avait annoncé le lancement d’une grande opération anti-clandestins.
Assouplir la loi, pour mieux agir
Cette annonce avait suscité un vif débat au sein de la société américaine. Ce mardi, les autorités américaines ont décidé de d’assouplir les règles d’expulsion rapide des clandestins. Maintenant, la police américaine de l’immigration (ICE) peut renvoyer sans présenter devant un juge, une personne vivante clandestinement aux États-Unis depuis deux ans au lieu de 14 jours. Selon Kevin McAleenan, le ministre par intérim de la sécurité, cette modification de la loi sur l’immigration clandestine va permettre de mieux appréhender et de mieux gérer la crise migratoire aux frontières américaines. » Ce texte fait bien comprendre que si vous n’avez pas l’autorisation légale d’être ici, nous vous expulserons » affirmera Kevin McAleenan
Laisser un commentaire