Toujours engagés en Syrie malgré l’annonce de leur retrait progressif, les États-Unis continuent de lutter efficacement contre la menace djihadiste. C’est via un communiqué de presse que le Pentagone a d’ailleurs confirmé les informations selon lesquelles une structure d’entraînement aurait été prise pour cible. Selon les premières révélations, pas moins de six dirigeants d’Al-Qaida ont trouvé la mort au cours de ces bombardements.
Pour la première fois en l’espace de deux ans, c’est bien le groupe d’Al-Qaida qui a été touché par les attaques américaines. C’est via un communiqué de presse que le Pentagone a confirmé les informations selon lesquelles une structure d’entraînement aurait été prise pour cible. Une opération risquée, qui aura permis aux troupes américaines engagées dans la région, d’éliminer des responsables du groupe djihadiste, qui menaçait directement les intérêts américains.
Washington, toujours impliqué
Dimanche soir, l’OSDH, l’observatoire sur le respect des droits de l’homme en Syrie, a fait part de ces frappes, confirmant que six personnalités gradées ont été retrouvées mortes, ajoutant cependant que deux autres personnes ont été tués dans ces frappes. Sur les six chefs, deux étaient Tunisiens, deux Algériens, un était Egyptien tandis que le dernier était Syrien.
Les deux autres victimes étaient deux combattants du groupe. Cette attaque elle, intervient alors qu’Al-Qaïda est toujours actif dans une zone qui échappe visiblement au contrôle de la coalition antidjihadiste. Une grande partie de la province d’Idleb est ainsi concernée, au même titres que certaines parties d’Hama, d’Alep et Lattaquié.
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