Affaire Yann Moix : chez les Moix, c’est la saison des diatribes

Le feuilleton Yann Moix n’a pas fini de nous tenir en haleine. Il ya quelques jours, l’ancien chroniqueur d’On n’est pas couché publiait son ouvrage Orléans où il a évoqué de nombreux faits relatifs à son enfance. Dans son livre, Yann Moix a indiqué qu’il a eu une enfance compliquée, victime de violences de la part des membres de sa famille. Orléans avait suscité une vive indignation au sein de la famille de Yann Moix.

Le père de l’écrivain, José Moix, s’est insurgé contre quelques faits qui furent rapportés dans l’oeuvre littéraire de son fils. Le septuagénaire a indiqué qu’il a prôné une éducation stricte pour ses enfants avant de préciser qu’il n’a jamais maltraité Yann Moix. Alexandre Moix, le frère cadet de Yann Moix à lui aussi nier catégoriquement les écrits de son grand frère selon lesquels il aurait été maltraité durant son enfance.

« Il a été mon bourreau(…) »

Ce mardi, Alexandre Moix a accordé un entretien à la chaîne BFMTV où il a affirmé que c’est lui qui a subi les mauvais traitements de Yann Moix lorsqu’ils étaient enfants. Alexandre Moix s’est identifié comme le personnage maltraité dans le roman de son grand frère. Sur BFMTV, le petit frère de Yann Moix a décrit comment ce dernier lui infligeait des violences physiques et comment cela l’a marqué à vie. Pour Alexandre, son grand frère était un véritable tortionnaire. » Il a été mon bourreau. Un enfant comme ça, on l’emmène chez un psychiatre. Je pense que c’est le grand tort de mes parents. Je pense que mon frère était un enfant psychotique. On ne peut pas décemment faire ce qu’il m’a fait sans que ça relève de la psychiatrie »

José Moix a notifié que le comportement de Yann Moix a brusquement changer lorsque son petit frère est venu au monde. D’un enfant calme et doux, Yann Moix s’est alors transformé en un véritable diablotin. Vu la portée de ses écrits dans Orléans, l’ancien chroniqueur de Laurent Ruquier a reconnu avoir mal agi et il a décidé de stopper la promotion de son livre. Dans l’ouvrage, des lignes et des dessins à caractère raciste et antisémite ont également été pointé du doigt.