• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
samedi, avril 17, 2021
samedi, avril 17, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil A la une

Assassinat de Sankara : Kadhafi pointé du doigt par un ex-président tchadien

Par Romaric Sy
il y a 2 ans
(Tout le monde en parle)
5 Commentaires
FacebookTwitter

A lire

Mort de Sankara : l’ex-chef de la sécurité de Compaoré toujours en fuite

Mort de Sankara : l’ex-président Blaise Compaoré bientôt jugé au Burkina

Voir plus d'articles

L’ancien chef d’Etat Tchadien Goukouni Weddeye s’est récemment exprimé sur la mort du chef de la révolution burkinabè Thomas Sankara mort assassiné le 15 Octobre 1987 à Ouagadougou au Burkina Faso. Sur le plateau de RFI, l’ancien homme fort du Tchad, renversé par Hissène Habré en 1982 a soupçonné l’ancien guide libyen le colonel Mouammar Kadhafi d’avoir joué un rôle dans l’assassinat de Thomas Sankara. L’homme fait d’abord remarquer qu’une délégation libyenne était présente au Burkina quelques jours avant l’assassinat du révolutionnaire burkinabé.

À lire aussi
  • Mort de Sankara : l'ex-chef de la sécurité de Compaoré toujours en fuite
  • Mort de Sankara : l'ex-président Blaise Compaoré bientôt jugé au Burkina
  • Recherché par la CPI, un chef de guerre pro-Haftar tué en Libye

Cette délégation avait à sa tête Mahammat Ali Chaffardine. Goukouni Weddeye dit avoir deviné que quelque se tramait entre ce dernier et l’ancien numéro deux et ami de Thomas Sankara, Blaise Compaoré. A en croire l’ancien président tchadien, une dispute entre lui, son rival Acheikh Ibn Oumar et Thomas Sankara a éclaté au cours d’une réunion qui se tenait à Ouagadougou.

“Il m’a demandé où se trouvait la délégation libyenne”

Le lendemain soir , Blaise Compaoré était venu le voir pour lui demander s’il y avait eu des problèmes avec le chef de la révolution burkinabé. L’ancien président Tchadien dit avoir répondu par la négative. Blaise Compaoré lui a ensuite demandé où se trouvait la délégation libyenne. Après cette discussion entre les deux hommes, Goukouni Weddeye dit avoir eu une seconde réunion avecThomas Sankara et Acheikh Ibn Oumar. Bien que le courant ne passait toujours pas entre l’ex président Tchadien et son rival, ils décident quand même de signer un PV, un communiqué de presse conjointe pour faire plaisir à Sankara. Les trois hommes sont ensuite sortis du bureau où se tenait la réunion.

“Dans la mentalité du colonel Kadhafi, ou tu étais avec lui à 100% ou tu ne l’étais pas “

C’est alors que Thomas Sankara qui tenait Goukouni par le bras lui montre un bâtiment et dit: “Si quelqu’un prend ça, le coup d’État est réussi”. Quelques jours après cette discussion,Goukouni dit avoir appris la mort de Sankara. A priori il est difficile de croire que Khadafi ait voulu la mort du leader de la révolution burkinabé parce qu’il était un anti-impérialiste comme Thomas Sankara. Mais pour Goukouni Weddeye « dans la mentalité du colonel Kadhafi, ou tu étais avec lui à 100% ou tu ne l’étais pas. Il n’y avait pas 36 solutions dans cette positon ».

Commentaires 5

  1. Bobo dit :
    13 septembre 2019 à 06:05

    Mr si vous souhaitez en vous une paix intérieure, alors, évitez de salir l’homme qui fut khadafi. Car de son vivant, votre témoignage aurait été utile, mais malheureusement j,aujourd’hui, il n’a plus de sens.

    Répondre
  2. VINCENT dit :
    12 septembre 2019 à 11:08

    POURQUOI c’est maintenant ses révélations?

    Répondre
  3. Omar dit :
    11 septembre 2019 à 18:31

    Vous révélez ça après Khadafi à quelle fin ?il le fallait pendant son vivant pour qu’il puisse se defendre.!

    Répondre
  4. Mamichelle dit :
    11 septembre 2019 à 18:20

    C’est un mensonge pur et simple on lui a donné de l’argent pour raconter n’importe quoi tout ça pour pour salir kadhafi et faire le bonheur Sarkozy et les lobby de la France Afrique

    Répondre
  5. Joseph dit :
    11 septembre 2019 à 15:11

    Pourquoi, il vient dire ça maintenant? Comme vous l’avez dit vous même. Se ne sont pas des éléments qui peuvent faire penser que kadhafi ait joué un rôle. C’est la France qui est l’auteur.

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • Soyinka dans Bénin : Patrice Talon réagit après la validation de la Cour constitutionnelle
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes
  • Flash News

© 2019 La Nouvelle Tribune