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Loi travail 2017 au Bénin: le texte apporte plus de flexibilité sur le marché du travail, selon Djogbénou

Par Benjamin Lawson
il y a 2 ans
(Tout le monde en parle)
6 Commentaires
Joseph Djogbénou

Joseph Djogbénou

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Joseph Djogbénou était sur le campus de l’université d’Abomey-Calavi le vendredi 30 août dernier. Il s’y était rendu pour lancer les travaux d’une  journée d’étude initiée par l’équipe de recherche sur le droit privé de l’université d’Abomey-Calavi. Cette journée d’études était intitulée :« Retour sur la loi travail de 2017 ». Dans son exposé, le président de la Cour constitutionnelle a essayé de convaincre l’auditoire de la pertinence de cette loi travail de 2017. A l’en croire ce texte apporte plus de flexibilité sur le marché du travail. Rappelons que la loi travail de 2017 fixe les conditions et la procédure d’embauche, de placement de la main d’œuvre et de résiliation du contrat de travail au Bénin.

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Des communications sur la loi travail 2017

Outre l’exposé du professeur Djogbénou, plusieurs communications ont été données au cours de cette journée d’études. Il s’agit entre autres des communications dénommées : « la flexibilité des relations de travail à travers les relations tripartites », « renouvellement indéfini du Contrat à durée déterminée » et « le plafonnement de l’indemnité de licenciement irrégulier en la forme ».

Commentaires 6

  1. Sabi Biaou dit :
    4 septembre 2019 à 09:17

    Lorsqu’on profite de cette loi pour régler le compte aux travailleurs de la sonapra et les contractuels de la fonction publique par exemple, défendre cette loi en tant que président de la cour c’est défendre le crime commis. Nous n’avons pas besoins de cette loi. Elle a permis de gagner ou de perdre d’emplois?

    Répondre
  2. (@_@) dit :
    3 septembre 2019 à 09:00

    Apparement vivre au Canada ne résout pas tous les problèmes qu’on peut avoir en lisant, “Monsieur qui a été à l’école”.
    Les critiques que je lis ici tiennent à la personne qui vante la dérégulation du travail et aux questions qui se posent sur son droit de réserve.

    Quand à comparer la situation sociale du Canada et du Bénin … 🙂 . Mais c’est là une autre question.

    \\\///
    (@_@)

    Répondre
  3. Desire dit :
    3 septembre 2019 à 00:32

    Bien dit Ogoubi!
    (je mexcuse d’utiliser un clavier QWERTY, pas d’accent)

    Pour les autres, a vous lire, on dirait que vous n’avez jamais ete a l’ecole. Sortez et visitez un peu les pays qui ont reussi. Le gpuvernement Talon ne fait que mettre en place les conditions pour developer le pays, et tout ce qu’il fait se fait dans pays qui ont reussi. je travail a Vancouver au Canada depuis 2005 en tant qu’ingenieur hydrogeologue, je voyage un peu partout dans le monde…cessez de commenter si vous ne maitrisez les sujets.

    Répondre
  4. Ogoubi dit :
    2 septembre 2019 à 15:35

    Où est le problème ? Notre code du travail doit aussi évoluer pour attirer les investisseurs créateurs d’emplois et pour permettre aux employeurs de donner à d’autres citoyens lorsque vous traînez des salariés qui deviennent des fainéants et des médiocres parce qu’ils comptent sur des CDI. Toutes tares qu’on retrouve dans notre fonction publique où il n’y avait aucune obligation de résultat.

    Répondre
  5. (@_@) dit :
    2 septembre 2019 à 12:43

    Est-ce bien le rôle d’un président de cour constitutionnelle de soutenir publiquement la politique dont il est censé contrôler la conformité ?

    N’a t-il pas statutairement d’obligation de réserve ?

    \\\\///
    (@_@)

    Répondre
  6. Bito dit :
    2 septembre 2019 à 11:59

    Tout le monde savait qu’il est l’auteur de la loi, c’était lui qui avait pondu la loi quand il était au gouvernement, c’est le cerveau pensant de Talon, ahaha, ces intellectuels **** ont tellement fait du *** au Bénin

    Répondre

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