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Education au Bénin : Noël Chadaré parle des changements au sein de l’école béninoise

Par Prince Amassiko
il y a 1 an
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Les élections professionnelles et l’évolution de l’école béninoise sont entre autres sujets au menu de l’émission zone franche de ce dimanche 27 octobre 2019 de Canal3 Bénin avec comme invité le secrétaire général de la Confédération des organisations syndicales indépendantes (COSI-Bénin) Noël Chadaré.

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L’école béninoise a connu des changements significations notamment cette année scolaire 2019-2020. Le gouvernement a décidé de mettre fin au système de vacataires et a entrepris de signer des contrats aux aspirants à la fonction enseignante. Sur la question, Noël Chadaré se réjouit  car, les centrales syndicales ont toujours souhaité qu’on sorte les enseignants de la précarité. Donc, il trouve que le gouvernement a pris en partie en compte leurs recommandations. Mais, il estime que telles que les choses se passent actuellement, ce n’est pas bon. Les aspirants à qui le gouvernement a signé des contrats vont être payés pendant neuf mois. Ce qui n’est pas du goût du syndicaliste qui pense qu’il faut leur payer 12 mois sur 12.

Aussi, il a un grief contre le recrutement de ces aspirants. Car, des anciens vacataires ont été laissés sur le carreau.  Il faut les payer 12 mois sur 12. Pour lui, «on aurait dû prévoir  des quotas pour ces anciens et des quotas pour les jeunes». Cela dit, Noël Chadaré invite le gouvernement à former les jeunes aspirants pour l’Approche par compétence (APC). S’il pense que cela devrait être déjà fait avant la rentrée scolaire, il estime que ce n’est pas tard pour le faire.

Il pense aussi qu’il que le gouvernement recrute plus d’enseignants pour améliorer la qualité de l’enseignement. Car, l’option de jumelage des classes pour pallier le nombre insuffisant d’enseignants n’est pas une bonne solution. Dans certaines matières comme le français, les mathématiques, et le sport, il y a problème d’enseignants. Mieux, on ne trouve pas assez d’aspirants dans ces matières.   Concernant les directeurs d’école sanctionnés pour mauvais résultats scolaires, le syndicaliste pense que ce n’est pas la solution. Pour lui, les textes ont bien prévu la manière de faire. Cependant, il faut mieux faire le diagnostic. Selon les directeurs concernés sont au niveau des établissements des zones reculées ou déshéritées où les enseignants n’aiment pas aller. Donc, il faut des primes de motivation pour les enseignants qui y vont.  

Des élections professionnelles

Les dernières élections professionnelles remontent à 2006 et depuis trois autres devraient être déjà organisées. «Nous nous sommes prêts à aller aux élections professionnelles», confie Noël Chadaré. Donc, selon lui, la faute est au pouvoir. Pourtant deux ‘’protagonistes’’ ont intérêt que ces élections aient lieu. A en croire le syndicaliste, le gouvernement a intérêt que ces élections aient lieu pour avoir des interlocuteurs valables. Et les travailleurs aussi ont intérêt que ces élections se fassent pour avoir une certaine légitimité. Il rassure que tous les secrétaires généraux veulent que ces élections professionnelles aient lieu.

L’invité a aussi opiné sur le budget général de l’Etat exercice 2020. Il estime qu’il y a du social dans ce budget mais l’Etat doit faire davantage. Il relève que «c’est un gout d’inachevé». S’appuyant sur le fait que le Bénin soit à 7% de croissance, Noël Chadaré exige que le quotidien du Béninois soit impacté positivement. «Il faut une justice distributive», a laissé entendre le secrétaire général de la COSI-Bénin. Il relève aussi que cela fait quatre ans que le gouvernement n’a pas songé à augmenter le Smig et de l’indice salarial. Or, il a affaibli le pouvoir d’achat des travailleurs en créant des taxes. Il faut maintenant «qu’on ressente de l’amélioration».

Commentaires 1

  1. Joeleplombier dit :
    27 octobre 2019 à 21:08

    Des propositions constructives de Chadare
    Je valide puisqu’il sait de quoi il parle
    Une balle dans le camp des ministres concernés
    Ne venez pas me dire ici que c’est Talon .
    Talon n’est pas un robot. Raison pour laquelle il nomme des ministres
    Je passais
    Le Plombier

    Répondre

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