Presque deux ans après le décès du « Taulier », la presse française indique qu’en plus de l’héritage qui divise ses proches, ceux-ci doivent également faire face à une dette de 30 millions d’euros. A en croire les précisions du média français BFMTV sur cette affaire, il accumulait cette dette depuis 2007. Cette année là, la star du roch’n roll avait mis sur pied un montage d’optimisation fiscale.
Fortune à 100 millions d’euros ?
Cette option qu’il avait faite, visait en effet à éviter que ses dividendes soient imposés en France. Il avait entre temps délocalisé sa résidence fiscale en Suisse et par la suite aux Etats-Unis à partir de 2013. Mais il avait l’obligation de payer des impôts sur ses revenus générés en France. Plusieurs redressements fiscaux lui ont été notifiés pour lui rappeler ses dettes selon des sources proches de l’affaire. Ainsi, l’administration fiscale de la France réclame une dette estimée à environ 30 millions d’euros.
Ces chiffres interviennent alors que l’ancien conseil de Leaticia Hallyday a confié qu’en réalité, la fortune de l’interprète de « Les portes du pénitencier » n’est pas aussi colossale que ce qu’avait publié le magazine « Capital » en mars 2018.
Selon les estimations de ce média, le patrimoine de l’illustre disparu pourrait bien atteindre 100 millions d’euros. Lors d’une interview que Amir-Aslani a accordée à Paris Match, il confiait que la réalité est largement en deçà de ces chiffres qui ont été rendus publics.
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Pour lui, c’est probablement le tiers du montant avancé par le magazine qui représente en réalité le patrimoine de l’Idole des jeunes. « Si vous voulez mon avis, bien que je ne me sois pas livré à une évaluation exhaustive, c’est plutôt le tiers » avait confié l’homme de droit au média. Si les héritiers devaient verser les 30 millions d’euros réclamés alors que l’héritage dépasse légèrement ce montant, ceux-ci ont visiblement beaucoup de soucis à se faire.
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