• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
vendredi, mars 5, 2021
vendredi, mars 5, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil Société

Maroc : un rappeur dans l’oeil du cyclone pour insulte à la police

Par Désiré Sossa
il y a 1 an
(populaire)
Commenter
Image d'illustration(policiers marocains). © FADEL SENNA / AFP

Image d'illustration(policiers marocains). © FADEL SENNA / AFP

FacebookTwitter

A lire

Eric Zemmour ©Arnaud Meyer

Aide à l’Afrique : Eric Zemmour veut un arrêt car cela génère des rancœurs

Une nouvelle affaire de viol sur une fille de 13 ans secoue le Maroc

Voir plus d'articles

En détention préventive depuis le 1er novembre dernier, Gnawi le rappeur marocain de 31 ans était devant le tribunal de Salé, près de Rabat ce jeudi 14 novembre 2019. Il est reproché  à cet artiste marocain des faits d’ « outrage à fonctionnaire public ». Le verdict n’est toutefois pas encore tombé suite à son passage devant les juges.

À lire aussi
  • Mohammed VI moqué en Algérie : colère au Maroc
  • Une nouvelle affaire de viol sur une fille de 13 ans secoue le Maroc

Les raisons sont-elles ailleurs ?

Il devra encore attendre le 25 novembre prochain, date à laquelle le tribunal de Salé a renvoyé l’affaire. Il aurait insulté la police dans une vidéo qu’il a diffusée sur les réseaux sociaux. Mais pour son avocat, les réels motifs de son arrestation sont ailleurs. Cette procédure judiciaire serait liée à la dernière chanson mise en ligne sur la plateforme de musique YouTube.

 Le titre « Vive le peuple » aurait déjà enregistré en quelques jours  plus de 13 millions de vues. Gnawi y dénonce notamment des faits « d’injustice » et « l’accaparement des richesses » du pays. Le monarque aurait également violemment été critiqué  dans la chanson. Toute chose qui serait constituerait les réels motifs de son arrestation.

Atteinte à la liberté d’expression selon Amnesty International

 Notons que le mis en cause bénéficie au sein de la population juvénile un véritable soutien qui justifie les différents messages de protestation enregistrés sur les réseaux sociaux. Certaines organisations de défense Droits de l’Homme se sont également insurgées contre sa détention qu’elles considèrent comme une atteinte à la liberté d’expression au Maroc.

 « Les poursuites judiciaires engagées contre lui constituent une atteinte flagrante à la liberté d’expression » a fait savoir par le canal d’un communiqué Amnesty International. Selon certains observateurs, Gnawi risque une peine allant à deux ans de prison s’il était reconnu coupable des faits dont il est accusé. Une demande de mise en liberté déposée par son avocat sera tout de même examinée par les juges dans les tous prochains jours.

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • Agadjavidjidji dans Bénin : à Porto-Novo, Joël Aïvo et Réckya Madougou ont appelé au calme
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

A ne pas rater

A la une

Afrique : les choses se compliquent pour Bolloré dans une affaire de corruption

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes

© 2019 La Nouvelle Tribune