Ce Jeudi, un magazine confessionnel mensuel d'information, Christianity Today basé à Carol Stream aux États-Unis, titrait en son éditorial ; « Trump devrait être démis de ses fonctions ». Un gros titre en accord avec la une de la presse américaine qui faisait ses choux gras de la procédure en destitution engagée par la Chambre des Représentants et passée ce mercredi au Senat pour ratification.
Pour le magazine qui se targue d'être apolitique, La destitution de Donald Trump serait un événement suffisamment important dans l'histoire dans l’histoire des USA pour que « cela nécessite des commentaires ».
Des commentaires caustiques
Christianity Today, disait sur son site donner tous les mois à « cinq millions de dirigeants chrétiens » des solutions pratiques et évangéliques sur des questions importantes de premier plan. Et la destitution historique d’une autre président américain, en était de toute évidence, une.
Cependant, le magazine avant tout propos avait tenu à dire que leur amour et leurs prières allaient au président, ainsi que d’ailleurs à tous les dirigeants et citoyens de tous bord politique, mais qu’il arrivait « nécessaire de temps à autre » en citoyens chrétiens responsables d'exprimer clairement leurs opinions sur les questions politiques.
Et qu’en ce qui concernait, la procédure de destitution du président Trump, « les faits dans ce cas sont sans ambiguïté». Pour Christianity Today, le président des États-Unis serait bel et bien coupable d’avoir tenté d'utiliser son pouvoir politique pour « contraindre un dirigeant étranger à harceler et à discréditer l'un de ses opposants politiques (Joe Biden) ». Et le magazine d’ajouter en l’occurrence dans son éditorial, « Ce n'est pas seulement une violation de la Constitution; (…) c'est profondément immoral ».
Dans un pays qui compterait selon des études d’institutions internationales, 70 % de sa population à obédience chrétienne, environ 62 millions de personnes, un tel parti pris d’un média confessionnel pourrait avoir sur la procédure en cours au Sénat des répercussions inattendues.
Surtout que le magazine enfonçant le clou déclarait que le président Trump, « exemple presque parfait de l’être humain moralement perdu et confus » ; aurait réussi par sa personne, ses déclarations, ses actions et ses choix ; à ériger la déviance morale en statut de son administration. Nombres personnes qu’il aurait engagées ou licenciées finissant le plus souvent par être des « criminels reconnus ».
Nous avons pire que Trump au Bénin. Mais il a plutôt le soutien voilés des marchands de la parole divine…. Jesus , que le Tout Puissant soit fier de lui, a renversé les tables des cambistes dans la maison de culte sacrée…..et nous n’avons pas l’honnêté de dénoncer un voleur de liberté et de dignité de son peuple …….
Je salue le courage et l’honnêteté de cette déclaration.
ha ben il ne manquai plus qu’eux …