Les élections communales de 2020 ne laissent guère optimiste l’ancien député Valentin Djènontin. Dans son adresse au peuple béninois le 31 décembre 2019, il a annoncé « une nouvelle tentative de détérioration de notre démocratie avec (l’utilisation) de deniers publics pour l’organisation d’un simulacre d’élection devant consacrer la désignation de conseillers communaux ».
Ce qui ne devrait pas être le cas. Ces joutes électorales devraient être pour « nombre de nos compatriotes », une opportunité pour le président Talon d’inaugurer un vrai dialogue en évitant d’écarter les partis du processus électoral.
Tous les partis notamment l’Usl (Union Sociale libérale), Restaurer l’Espoir (RE), le PCB (Parti Communiste du Bénin), et le FCBE (Force cauris pour un Bénin Émergent), devraient participer aux élections selon M Djènontin.
Il est en train de faire l’option de « la ruse et de la rage »
Mais les signaux qui lui parviennent montrent que le président encore une fois est en train de choisir l’option de la « ruse et de la rage, de l’arbitraire et de la violence ». L’autre sujet abordé par Valentin Djènontin, c’est l’organisation d’élections locales.
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A l’en croire, elles ont été sciemment abandonnées au titre de l’année 2020 pour éviter la colère des milliers d’élus locaux et pour se servir d’eux par la force et la psychose dans « le maquillage de la présidentielle à venir ». Notons que l’ancien ministre est recherché par la justice béninoise. Il est condamné au pays à deux ans de prison.
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