Coronavirus : c’est confirmé, la France est touchée !

Le coronavirus a tué au moins 26 personnes et en a rendu malade au moins 900 depuis son apparition dans le centre de la Chine en décembre. L’Organisation mondiale de la santé surveille la propagation du virus pour voir s’il se transformera en urgence mondiale de santé publique. Alors qu’un troisième patient était diagnostiqué aux USA, à Seattle; la France signalait ce vendredi 24 janvier trois cas, les premiers en Europe.

Des infections surveillées de près

S’adressant aux médias français lors d’une conférence de presse plus tôt dans la journée du vendredi, la ministre française  de la Solidarité et de la Santé, Agnès Buzyn, avait déclaré qu’un cas de virus avait été diagnostiqué à Bordeaux et deux autres près de Paris. Deux patients avaient voyagé en Chine, l’épicentre de l’épidémie meurtrière, le troisième l’aurait contracté à cause de sa proximité avec le cas de Paris. Selon la ministre française de la Santé, Agnès Buzyn ; « Nous aurons probablement d’autres cas » puisque le cas girondin aurait été en contact avec une dizaine de personnes depuis son arrivée de Wuhan.

Aussi, la ministre avait-elle recommandé ;  étant donné que le virus mettrait «autour de sept jours, entre deux et douze jours» pour incuber, c’est-à-dire se propager et faire apparaitre les premiers symptômes ; à contacter les centres de régulation médicale des Samu et se faire enregistrer, afin que des spécialistes puissent avec eux surveiller l’évolution de leur état. Mais surtout avait insisté la ministre, toutes les personnes qui auraient été en contact avec les cas révélées, devaient rester chez elles, tout en surveillant de près leur température et l’apparition des premiers symptômes afin d’éviter une propagation rapide de la maladie.

Selon les scientifiques, de nombreuses zones d’ombre demeureraient encore au sujet du nouveau coronavirus, appelé ‘’ 2019 nouveau coronavirus ’’, ou ‘’ 2019-nCoV ’’. Les leçons tirées des précédentes éclosions de coronavirus, y compris le syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS, et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, ou MERS ;  pourraient semble-t-il aider les responsables de la santé à éviter certaines des conséquences les plus graves de cette épidémie.

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