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Mannequin de Macron brûlé : des gilets jaunes peuvent crier victoire

Par Romaric Sy
il y a 1 an
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La décision de justice concernant les trois Gilets jaunes qui avaient été mis en examen, suite à un procès fictif du président français Emmanuel Macron, est connue. En effet, un juge d’instruction a rendu une ordonnance de non-lieu en faveur des trois personnes.

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« pendez-le haut et court »

La décision a été rendue le 27 décembre 2019 à Angoulême (Charente). L’ordonnance de non-lieu du juge a estimé que le « procès fictif ne révèle pas chez ses concepteurs, acteurs ou spectateurs une réelle volonté d’appeler à tuer le président de la République ». A en croire le document, les déclarations mises en cause ont pour finalité de faire rire ou sourire, peu importe la valeur à caractère humoristique qu’on peut leur donner.

Les trois gilets jaunes mis en examen faisaient partie d’un groupe, qui avait le 21 décembre 2018, organisé un semblant de procès du locataire de l’Elysée, le jour de son anniversaire. Ce jour-là un épouvantail d’Emmanuel Macron avait été condamné à mort. Durant le procès, la foule scandait « pendez-le haut et court », « on le pendra avec ses tripes », « qu’on lui coupe la tête », etc.

Après que la condamnation à mort ait été prononcée, un faux bourreau avait coupé à la hache la tête du mannequin d’Emmanuel Macron pour ensuite le brûler. La vidéo de la scène avait été partagée en direct sur la page Facebook d’un média français.

Des ministres avaient fustigé la parodie

La situation avait suscité l’indignation de certains ministres français qui avaient demandé des sanctions pénales contre les personnes étant à l’origine de la parodie. Le parquet d’Angoulême avait été saisi par le préfet de Charente qui avait pourtant donné son autorisation pour la tenue de la manifestation.

Pendant l’enquête, les trois gilets jaunes qui s’étaient occupés de l’enregistrement de la déclaration de manifestation avaient été mis en examen. Ils avaient été poursuivis pour « outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique » et « provocation non suivie d’effet au crime ».

La décision du juge a cependant souligné que « ce procès fictif constituait une parodie grossière de tribunal visant à critiquer l’action du chef de l’Etat, n’ayant pas vocation à être prise au sérieux ».

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