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Piratage du téléphone de Jeff Bezos : Des proches de MBS l'enfoncent

L’affaire relative au piratage du téléphone portable de Jeff Bezos continue d’occuper l’actualité. Après la révélation faite par le média britannique  The Guardian, le Wall Street Journal indique à son tour que certains collaborateurs du prince héritier étaient bien au courant du projet relatif au piratage du téléphone portable du patron d’Amazone.

Le conseiller principal de MBS cité

 A en croire les confidences qui auraient été faites au média américain par ces collaborateurs de « MBS », ils étaient au courant du projet mais ne savaient pas par contre, que le but était de faire chanter le milliardaire américain.

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 Ceux-ci ont même cité le nom de Saud al-Qahtani, conseiller principal du prince héritier comme étant l’une des personnes impliquées dans cette affaire d’espionnage.

L’affaire Jamal Khashogi…

Mais selon les informations qui ont été révélées par le Wall Street Journal , ce dernier avait participé à cette opération dans le cadre d’une campagne d’intimidation contre le journaliste saoudien Jamal Khashogi.

Cet homme des médias qui laissait régulièrement ses écrits dans les colonnes du Washington Post avait été assassiné à Istanbul dans les locaux de l’ambassade du royaume de l’Arabie Saoudite.

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Portable piraté par l’envoie d’une vidéo

Selon les informations révélées par le média britannique The Guardian, deux officiels de l’ONU auraient exploité les conclusions d’une enquête commanditée par l’équipe du milliardaire américain pour déduire que le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salman, surnommé « MBS » avait piraté le téléphone portable du patron d’Amazone.

L’homme fort de Ryad aurait eu accès aux données personnelles de Jeff Bezos suite à une vidéo qu’il lui aurait envoyée. Les deux hommes auraient eu des échanges cordiaux sur WhatsApp le 1er mai 2018.

Ils se seraient rencontrés quelques semaines plus tôt lors d’un dîner à Los Angeles. Le prince héritier était aux Etats-Unis en cette période dans le cadre d’une visite officielle. Les autorités de Ryad continuent de balayer du revers de la main toutes ces accusations contre  prince héritier saoudien Mohammed Ben Salman.

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