• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
mercredi, janvier 20, 2021
mercredi, janvier 20, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Recherche
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil Société

Cameroun : La disparition de 130 personnes en 2014 préoccupe Amnesty

Par Désiré Sossa
il y a 11 mois
(populaire)
Commenter
FacebookTwitter

A lire

Cameroun : des candidats ayant la double nationalité exclus

Cameroun : explosion d’une bombe à Yaoundé

Voir plus d'articles

Amnesty International, l’organisation de défense des Droits de l’Homme veut en savoir plus sur le sort qui a été réservé à une centaine de personnes portées disparues au Cameroun il y a quelques années. Ce lundi 9 mars, l’organisation a demandé au gouvernement d’ouvrir une enquête sur la disparition de 130 personnes dans le nord du pays.

Les événements de Madgémé et Doublé en 2014

A en croire Amnesty, on est sans nouvelles de ces personnes depuis bientôt six ans. Elles faisaient partie des 200 hommes et garçons qui avaient été mises aux arrêts à Magdémé et Doublé dans le Nord du Cameroun en 2014.

« Le 27 décembre 2014, les forces de sécurité camerounaises ont arrêté arbitrairement plus de 200 hommes et garçons à Magdémé et Doublé, deux villages de la région de l’Extrême-Nord, lors d’un raid violent »,  a indiqué Amnesty International. Aussi, une campagne a-t-elle été lancée dans le pays. Elle est intitulée : « Où sont-ils ? Justice pour les victimes de violations des droits de l’homme dans les villages de Magdémé et Doublé ».

Demander des réponses au gouvernement

Selon Tity Agbahey, chargée de campagne pour l’Afrique centrale au bureau régional d’Amnesty International, l’objectif est de demander « des réponses au gouvernement camerounais parce que cinq ans c’est long pour les familles qui attendent des réponses. C’est long pour des proches qui n’ont pas reçu des nouvelles de leurs familles depuis cinq ans ».

Du côté des gouvernants camerounais, les chiffres évoqués ont été remis en cause. Ils reconnaissent l’arrestation de 70 personnes dont 25 sont décédées durant la nuit passée en garde à vue. L’organisation dénonce le flou qui avait prévalu autour de ce dossier. Amnesty International fait remarquer que l’identité des personnes décédées ou le lieu de leur inhumation avaient été gardés secrets.

Nous vous recommandons

Autre

Le meurtre d’écoliers camerounais choque l’Afrique

Société

André Blaise Essama : l’activiste qui abat les statues françaises au Cameroun

Voir plus d'articles

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • Sonagnon dans Pour son anniversaire, Sébastien Ajavon fait une promesse spéciale aux béninois
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

A ne pas rater

Photo : AP/Photo
A la une

La surprise militaire de la Corée du Nord

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes

© 2019 La Nouvelle Tribune

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Si vous désactivez les cookies, votre expérience sur le site sera fortement compromise.OkNonEn savoir plus