Agnès Buzyn : nouvelle révélation sur l’ancienne ministre

Critiquée, Agnès Buzyn, ancienne ministre française de la Santé et candidate à la mairie de Paris, aurait totalement craqué fin février, à la suite d’une question au sujet du covid-19. En effet, alors qu’elle était interrogée au sujet de l’épidémie à venir, la politicienne se serait subitement mise à pleurer.

Nous sommes le 28 février. Ce jour-là, Agnès Buzyn est interrogée au bistrot La Belle Époque, dans le 2e arrondissement de Paris. Très vite, l’entretien tourne autour du coronavirus et de la pandémie à laquelle la France pourrait potentiellement faire face. La journaliste Anna Cabana lui assure alors de tout son soutien, Agnès Buzyn travaillant de front à gérer sa campagne en plein Paris et la crise sanitaire sur le point de s’abattre en France. Les questions elles, se font plus précises et vient alors la question de la crise sanitaire.

Agnès Buzyn, une ministre critiquée

Visiblement épuisée, c’est alors qu’elle craque. « J’y pense tout le temps, je ne pense qu’à ça, je suis médecin, je suis médecin avant tout« , lui affirme-t-elle, incapable de continuer de longues minutes durant, ne trouvant pas la force de reprendre et faire face à la réalité. Un crève-coeur pour elle, médecin de formation, prise dans le rouage de la politique d’autant que ses propos et ses multiples sorties elles, sont reprises par les tout le monde. Sa légèreté au début de la crise lui a visiblement coûté beaucoup de crédit aux yeux des électeurs.

Une grave crise et un échec

En effet, Agnès Buzyn a semblé être très détendue au sujet du nouveau coronavirus, elle qui a affirmé que la France ne devrait pas être durement touchée par la crise. Au moment de quitter ses fonctions de ministre de la Santé, elle s’était d’ailleurs félicitée d’anticiper l’épidémie, en ayant préparé le système de soins à une vague de malades. Problèmes, la situation a dérapé en France, ou près de 15.000 personnes ont trouvé la mort. Concernant sa campagne, elle a décidé de se mettre en retrait après une troisième place décevante, loin derrière Anne Hidalgo et Rachida Dati.