Le nouveau coronavirus a tué plus de 283 000 personnes dans le monde et continue de se propager. En Russie, les autorités avaient intensifié les mesures pour ralentir la propagation de la pandémie à l’intérieur des frontières. Mais n’avaient pu empêcher plus de 2000 décès et plus de 230 000 cas confirmés d’infections à coronavirus. En fait, ce serait à la date de ce 12 Mai, 232 243 cas confirmés plus un ; celui du porte-parole du président Vladimir Poutine, Dmitri Peskov. Il a lui-même livré la nouvelle via une agence de presse russe, ce mardi.
Un autre proche de Poutine contaminé
Ce mardi, c’est par un communiqué adressé à une agence de presse russe, que Dmitri Peskov, avait révélé son état. Selon le communiqué, le porte-parole du président Vladimir Poutine aurait été hospitalisé pour cause de coronavirus. Une déclaration qui aurait pu faire craindre le pire pour le président russe, mais plus tard dans la journée Peskov révèlera que la dernière fois qu’il avait vu le président en personne c’était « il y a un mois ». De fait, selon la presse, le président russe, Vladimir Poutine aurait, depuis l’ouverture de la brèche en Russie, fait l’option du travail à distance avec la plupart de ses collaborateurs ; n’autorisant qu’un cercle très réduit de personnes triées sur le volet et régulièrement testées, à l’approcher en sa résidence de Moscou.
Des mesures drastiques de la part du Kremlin pour le président, qui se justifiaient au vu de la vague incontrôlée de contamination parmi les membres du gouvernement. Avant Peskov, trois ministres russes avaient précédemment été testés positifs pour le coronavirus : le Premier ministre Mikhail Mishustin, qui est toujours à l’hôpital ; la ministre de la Culture, Olga Lyubimova et le ministre du Logement, Vladimir Yakushev. Peskov, 52 ans, est le porte-parole de Poutine depuis 2008, mais avait commencé à travailler avec lui au début des années 2000. En Russie, les personnes contaminées qui ne présentent que peu ou pas de symptômes de maladie sont autorisées à rester chez eux. Du coup l’hospitalisation de Peskov, laissait dubitatif quant à la gravité réelle de son état.
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