Un fait plutôt inhabituel s’est produit la semaine dernière en Turquie. En effet, un footballeur du nom de Cevher Toktas évoluant au poste de défenseur central a admis avoir tué son fils de cinq ans. Cette confession est intervenue après l’inhumation de l’enfant dont le décès avait été pourtant perçu comme naturel par le corps médical. Le petit avait été avec son père placé en quarantaine suite à la présentation des symptômes liés au nouveau coronavirus.
Très exactement deux heures après son admission au service des soins intensifs, son corps sans vie avait été découvert. Tout était normal jusqu’au moment où le joueur de Bursa Yildirim a confié qu’il a lui-même tué son enfant. Il a essayé de justifier son crime par une crise de nerf incontrôlée. Selon la description qu’il a faite de son forfait, le petit enfant âgé de cinq est mort étouffé.
« Je ne l’ai jamais aimé depuis qu’il est né »
« J’ai appuyé un oreiller contre le visage de mon fils qui était couché. Pendant quinze minutes, je l’ai serré sans jamais le retirer. C’est quand il a cessé de bouger que je l’ai relâché », a décrit le joueur aux autorités judiciaires. « Je ne l’aimais pas. Je ne l’ai jamais aimé depuis qu’il est né », poursuit-il.
Pour les besoins de l’enquête, le corps de l’enfant a été exhumé pour la réalisation d’une autopsie. Pour ce crime qu’a commis le joueur de 32 ans, il pourrait écoper d’une condamnation à perpétuité.
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