Homicide volontaire. C’est du moins le chef d’accusation ayant motivé l’ouverture d’une information judiciaire par le procureur de la République de Metz, Christian Mercuri. Cette disposition a été prise par le parquet dans le cadre d’une affaire de meurtre d’une femme. La victime a été retrouvée morte, ligotée sur son lieu de travail à Metz le mardi 5 mai dernier.
Plusieurs éléments l’enfoncent…
Le présumé coupable a été quant à lui mis en détention provisoire ce jeudi suite à la découverte de certains éléments. Même s’il n’est pas passé aux aveux, les confidences de certains voisins lors de l’enquête n’ont pas été en sa faveur. Les images visualisées sur les caméras de vidéosurveillance tendent également à confirmer la thèse selon laquelle il aurait tué la femme.
Le dernier élément de la série qui l’incrimine est relatif aux résultats d’analyses scientifiques sur l’ADN selon les explications du procureur. Cette sexagénaire aurait en réalité été tuée par un membre du personnel de la Maison des adolescents. La défunte était chargée de faire le ménage dans les locaux de cette structure d’accueil, de soins et d’orientation pour les adolescents dans le centre-ville de la commune.
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