Alors que la pandémie de covid-19 continue de frapper le monde, les autorités hongkongaises ont alerté l’Organisation mondiale de la santé au sujet d’une nouvelle maladie, le VHE du rat. En effet, cette hépatite, appelée hépatite E se transmet de manière relativement rapide, du rat vers l’homme. Plusieurs cas ont été confirmés, mais il se pourrait que des centaines d’autres personnes soient infectées.
Dans les faits, les autorités sanitaires de la ville de Hong Kong ont confirmé qu’une petite dizaine de cas ont été confirmés. Une nouvelle surprenante, tant cette maladie est relativement méconnue. Le premier cas connu des autorités, remonté à 2018. À l’époque, un homme de 56 ans a présenté des fonctions hépatiques animales après avoir subi une greffe. Très vite, des tests ont alors été menés et il s’est avéré que le patient était atteint d’une nouvelle forme de maladie. Baptisée hépatite E, cette maladie du foie provoque fièvre, jaunisse et hypertrophie de l’organe concerné.
L’Hépatite E, prochaine menace pandémique ?
Suite à cette découverte, le nombre de cas lui, n’a cessé d’augmenter. Selon les experts, ce virus pourrait être dormant, à savoir qu’il existe depuis de nombreuses années, mais qu’il n’a jamais été en mesure de franchir un seuil de contagion important. Aujourd’hui, afin de mettre en garde et d’éviter un scénario digne de celui que nous traversons actuellement.
Hong Kong décide de mettre en garde
Un rapport a donc été transmis à l’Organisation mondiale de la santé afin d’aider et d’alerter tous les pays membre. Préparés, ces derniers seront en mesure de rapidement réagir si jamais l’hépatite E venait à devenir l’une des maladies les plus importantes de ces dernières années. L’expérience acquise par les gouvernements avec le covid-19 pourrait également être bénéfique et permettre de réagir plus efficacement, les systèmes de santé étant désormais prêts à affronter de telles vagues.
Laisser un commentaire