Le Canada pour une immigration vigoureuse vu le rôle des immigrants durant la pandémie

En Décembre 2019, dans la presse canadienne émergeait une copie de la lettre de mandat du nouveau ministre canadien de l’Immigration, des Réfugiés et de la citoyenneté, Marco Mendicino. Dans cette lettre figurait en bonne place la recommandation d’ « assurer la mise en œuvre efficace du Plan annuel accru des niveaux d’immigration du Canada pour 2020-2022, attirant plus d’un million de nouveaux résidents permanents au Canada au cours de cette période ». Mais, le Covid-19 était intervenu et les priorités avaient évolué. Mais ce Vendredi, Mendicino revenait à la charge.

Mendicino , ministre des Migrants

Gérer l’arrivée de plus d’un million de nouveaux résidents permanents et créer un nouveau programme des candidats municipaux, faisaient partie des tâches que le premier ministre premier ministre canadien Justin Trudeau avait confié à son nouveau ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, Marco Mendicino. Une mission, que le sémillant ministre, lui-même fils de migrants avait pris très à cœur.

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Il est vrai que le ministre avait pour le conforter dans sa mission des arguments très en faveur de la politique d’ouverture du premier ministre Trudeau. Les immigrants récents, comme ceux avant eux, auraient toujours été perçus comme étant bénéfiques pour le Canada. Ils avaient la réputation de travailler dur, souvent à des emplois que bien de  canadiens rechignaient à faire. En outre, les nouveaux arrivants aidaient l’économie en payant des taxes fédérales, provinciales et municipales ; et leur besoin de logement avait fait augmenter la valeur de l’immobilier, en particulier dans les villes de Vancouver et Toronto .

« L’immigration (…) c’est une valeur durable en laquelle je crois »

Mais la crise économique et la crise sanitaire due au coronavirus était intervenue, et le Canada s’était retrouvé comme d’autres pays dans l’obligation de revoir ses dispositions sécuritaires aux frontières. Mais selon Mendicino, mais au plus fort de la crise sanitaire, l’action des travailleurs sur l’économie avait été prépondérante. « Nous ne pourrions pas nourrir les Canadiens à un prix abordable sans les immigrants, nous ne pourrions pas soutenir nos travailleurs de première ligne [dans la pandémie NDLR] sans immigration » avait déclaré le ministre ce vendredi à la presse.

Pour l’ancien procureur donc, il était important pour le Pays de poursuivre au plus tôt avec sa politique en matière d’immigration. Une politique qui devrait permette l’accueil de plus d’un millions de migrants de 2020 à 2022. « L’immigration, c’est fondamentalement des gens qui se réunissent pour bâtir un pays plus fort, et c’est une valeur durable en laquelle je crois » avait confié Marco Mendicino.

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