Ancien proche de Bob Marley, le publicitaire Howard Bloom a accepté de revenir, en ce 11 juin, sur les derniers jours de l'icône du Reggae. Interviewé par le New York Post, celui-ci effectuait la promotion de son nouvel ouvrage, Einstein, Michael Jackson & Moi : À la recherche de l’âme dans les puissances du Rock and Roll.
Dans ce livre, Bloom évoque un douloureux souvenir. En effet, un soir, au cours de la fin de l'année 80, celui-ci reçoit un triste appel. Au téléphone, on lui annonce effectivement que Bob Marley est hospitalisé dans un grave état, en Suisse. Mourant, personne ne doit être mis au courant. Résultat, Bloom continue de communiquer avec les médias du monde entier au sujet du chanteur, faisant bien attention à ne pas évoquer la santé de ce dernier.
Bob Marley, une fin de vie compliquée
Si certains savaient que Marley était atteint d'un cancer, d'autres en revanche, n'en parlaient pas. Résultat, tous les matins, la star jamaïquaine prenait du temps afin de lire ce que les médias disaient de lui. Si son cas n'était pas évoqué, alors il passait ses journées dehors, à jouer au football. Dans le cas contraire, il passait le reste de sa journée, dans sa chambre, seul. Le travail de Bloom constituait donc à faire en sorte que Bob Marley profite de chacune de ses dernières journées.
L'icône rastafari décède en 1981
Huit mois durant, les deux hommes vont tout faire pour cacher la situation délicate dans laquelle le chanteur se trouve. Mais un matin, il reçoit un appel pour lui dire que Bob Marley a décidé de passer à autre chose et refusait de continuer à travailler avec Bloom. Une manière de dire qu'il refusait de continuer à vivre. Il décédera deux semaines plus tard, le 11 mai 1981, dans un hôpital de la ville de Miami.
Excellent Tchite ton commentaire rastaman vibration.
« The reggae legend’s poignant last words were: “Money can’t buy life.” »
Il vivait à Londres. Tomba malade. Décida de rentrer. Mais la maladie s’aggrava en cours de voyage. Il décida alors de changer de trajectoire pour aller se faire traiter à Miami dans un hôpital qui faisait des études sur le cancer. C’est dans cet hôpital qui passa de vie à trépas.
De cancer de peau. Il eut des greffage de peau, mais la maladie s’est aggravée. Ces derniers mots à son fils : »money cannot buy everything « . Il était devenu riche, mais il fit le triste constat que l’argent ne pouvait pas acheter la vie. Seul Dieu donne la vie et la reprend.
Fervent défenseur de l’Afrique et très populaire par ses champs, je penses que don erreur fut de quitter sa Jamaïque natale pour s’installer à Londres, car c’est là wu’il fut atteint.
Vite éliminé, car il dérange beaucoup de puissances.
Ses chants,