Ce Lundi sur CNews, le polémiste Zemmour, fidèle à sa ligne éditoriale, faisait bande à part de la tendance médiatique, en jugeant que l’on faisait trop de bruit autour de la mort de George Flyod. Le polémiste n’avait pas hésité à déclarer, qu’à finir sous le genou d’un policier, George Flyod, n’avait joué que de malchance. Tant la probabilité pour lui, était grande de mourir tragiquement, vu son passé de toxicomane et de repris de justice. Ce Mardi, l’humoriste Thomas Ngijol, lui répondait.
« C’est scandaleux… (…) il est fou ce type »
Ce Mardi Thomas Ngijol, humoriste, acteur et réalisateur français d'origine camerounaise, invité sur ‘’Quotidien’’, l’émission de télévision française d'infodivertissement présentée par Yann Barthès, avait tenu à lui dire sa manière de penser à Eric Zemmour. Si le polémiste après ses déclarations du lundi avait vu de nombreuses réactions d’internautes français, décrier ses propos ; Ngijol lui s’était montré un peu plus véhément. Pour Ngijol, le polémiste aurait complétement manqué de sens commun à corréler la bévue dont avait été victime Floyd à son passé de repris de justice.
Zemmour n’aurait « même pas de respect pour quelqu'un qui est défunt », ni même pour sa « famille » s’était exprimé Ngijol. Avant d’ajouter, « C’est scandaleux (…) parler de ça, comme ça, de quelqu'un qui a rendu l'âme, il est fou ce type ». Et si l’humoriste avait déclaré ne pas vouloir donner dans les « insultes » ou citer une « personne complètement débile » ; il n’avait cependant pas pu s’empêcher, visiblement remonté, de demander à Zemmour de bien vouloir « fermer sa gueule ». Car avait expliqué Ngijol, « Si tout le monde dans le showbusiness qui a consommé de la cocaïne devait finir sous le genou d'un flic, il n'y aurait plus grand monde dans le métier ! »
Thomas Ngijol, qui c’est ce pseudo humoriste ? Encore une minorité a qui on a fait croire qu’il avait du succès
Zemmour ? Mais son nom n’est même pas français !
Comme je l’ai souvent répété, il suffit d’ignorer les propos dudit, aussi ignobles soient-ils, pour le mettre au chômage. Chaque fois qu’on s’en émeut, on l’encourage et on lui donne davantage de poids médiatique.