La présidente de la Fondation vouée à la protection des animaux, Brigitte Bardot, s’en est une nouvelle fois prise à la fête de l’Aïd-el-Kebir, l’une des plus importantes de l’année pour la communauté musulmane. Selon elle, les traditions entourant cette fête sont « barbares » et participent à légitimer la souffrance animale.
Ce n’est pas la première fois que Brigitte Bardot s’en prend à l’Aïd. En 2018, elle a ainsi comparé cette fête musulmane à un jour de deuil, dénonçant et condamnant la mort de 250.000 moutons chaque année. Un an plus tard, elle dénonçait la barbarie de cette fête traditionnelle, réclamant ensuite la suppression des règles accordées à ces cultes. Cette année encore, la star française a décidé de dénoncer l’Aïd, via un communiqué de presse, lourd de sens.
Brigitte Bardot s’en prend une nouvelle à l’Aïd
Pour rappel, cette fête autorise les musulmans à égorger des moutons, sans étourdissements. Chaque année, des centaines de milliers de ces animaux sont abattus pour l’occasion. Face à ce qu’elle qualifie d’atrocité, l’ancienne actrice a diffusé un communiqué de presse le 22 juillet dernier, afin de condamner fermement ces sacrifices en France. Selon ses dires, le gouvernement français a un double discours en prônant la laïcité, mais en acceptant les « traditions archaïques » imposées par la communauté musulmane.
La France, pas la « banlieue de Bab-el-Oued »
Cette année, l’ancienne icône est toutefois allée plus loin, affirmant que la France n’était pas « la banlieue de Bab-el-Oued ». Toujours selon elle, les associations œuvrant en faveur du bien-être animal, devraient aller plus loin dans leur combat, elles qui sont en totale opposition avec les souffrances observées. La loi stipule par ailleurs qu’abattre un animal, chez soi, est passible d’une peine de prison de six mois et de 15.000 euros d’amende.
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