En Centrafrique, l’ancien président François Bozizé, qui avait pris le pouvoir par un coup d’état le 15 mars 2003, et a été renversé le 24 mars 2013 veut revenir aux affaires, cette fois-ci de manière légale. Son parti, le Kwa Na kwa (KNK) a annoncé sans surprise son investiture pour la présidentielle à la suite d’un congrès organisé à Bangui.
« Le congrès vient de me désigner candidat du Kwa Na Kwa à la prochaine élection présidentielle (…) J’accepte solennellement la mission que vous me confiez » a affirmé M. Bozizé à la sortie de ce congrès. Une candidature qui crée déjà la polémique au vu de la situation. En effet, François Bozizé est sous le coup de plusieurs sanctions internationales dont une interdiction de voyager (interidction qui a été récemment foulée au pied).
Outre cette interdiction, l’ancien président est normalement sous le coup d’un mandat d’arrêt international émis par son propre pays pour des accusations de torture. Autant d’éléments qui font d’ores et déjà dire à certains que cette candidature ne sera pas validée par les juges de la cour constitutionnelle comme dans de nombreux pays africains.
Franchement il faut le faire. L’Afrique est pleine de ces anciens présidents et actuels présidents qui souffrent d’une faillite mentale. C’est du jamais vu, car nous sommes incapables d’apprendre nos leçons et nous continuons d’agir toujours d’une manière bête sans scrupules
Ces gens la’ n’ont pas honte? C’est pour prendre le pouvoir afin d’aller tendre la main chaque fin du nmois a’ la france pour demander de l’argent au lieu de travailler et d’en gagner.
Bien dit