L’appel à la désobéissance civile lancé par l’opposition ivoirienne afin de faire céder le président Alassane Ouattara, qui selon elle n’a plus droit à un autre mandat, continue de faire monter l’adrénaline dans le camp présidentiel. Après la déclaration du porte-parole du RHDP hier mardi 22 septembre, où il s’en était violemment pris à l’opposition principalement au président Konan Bédié, c’est le tour du président du directoire du parti au pouvoir, Adama Bictogo de revenir à la charge.
Interrogé par RFI ce mercredi matin, sur la volonté de l’opposition de voir naître un nouveau Conseil constitutionnel et une nouvelle Commission électorale ainsi que le retrait de la candidature de M. Ouattara, Adama Bictogo a estimé sur ce point que « l’opposition est irresponsable. Il n’est pas question de revenir en arrière » a-t-il affirmé avant d’être encore plus ferme.
On ne peut pas revenir sur la décision du CC
« On ne peut plus revenir sur la Commission centrale électorale, il n’en est pas question. On ne peut pas revenir sur la décision du Conseil constitutionnel. On ne peut pas avoir déposé ses dossiers à la Commission électorale indépendante, accepté que ses dossiers soient transmis au Conseil constitutionnel, acceptant ainsi les principes que nous imposent le processus et vouloir dans le même temps autre chose, » a-t-il martelé.
Répondant à l’hypothèse d’un éventuel boycott de l’élection par certains candidats, l’honorable qui est convaincu de sa tenue et à bonne date, a indiqué par ailleurs, que la crédibilité d’une élection ne se juge pas au nombre de participants. « Si les Ivoiriens ne boudent pas l’élection et que des candidats refusent d’y aller, l’élection demeure crédible et légitime », a-t-il conclu.

La foudre , faut pas compter parmi tes 4 clowns , mon soro , gbagbo et bédié hein ! Tchité la révolution qui va se déclencher bientôt au bénin ne laissera pas fuir le monsieur qui se déguise en femme dans une vielle Peugeot 504
@Olla
Trop de politiciens vendus et peuple trouillard au Bénin.
Il n’y aura pas de révolte…
Quatre clowns qui s’amusent avec la vie de tout un peuple…. 🤔
Comme je le dis toujours, cette opposition n’a pas aujourd’hui le soutien de l’Elysee qui avait en 2002 et 2010 financé et soutenu des guerres proxy (proxy war », puis après une intervention directe de l’armée française licorne dans ce pays.
Avec de telles constatations, pour que l’opposition gagne ce combat qui semble perdu d’avance, il faudra une révolte populaire (une révolution) comme au Mali (ibk) ou au Burkina (pour chasser Compaoré).