Le Bénin célèbre le mois du consommons local. L'initiative émane du ministère de l'industrie et du commerce et vise à valoriser les produits locaux. A cet effet, un panel sur la route du coton a été ouvert mercredi 07 octobre à la chambre du commerce et d'industrie du Bénin. La cérémonie a réuni les ministres de la culture, de l'artisanat et du commerce mais aussi les acteurs de la transformation du coton, du champ à la transformation.
Le Bénin à l'instar des autres pays du monde a célébré ce mercredi 07 octobre, la deuxième édition de la journée mondiale du coton. Une filière qui représente 12% du produit intérieur brut et 40% des devises béninoises. A l'occasion de cette journée, un panel sur la route du coton a été mis en oeuvre et a réuni les acteurs de la chaîne de production. En effet, le Bénin, premier producteur du Coton en Afrique fait partir des pays du C4 qui regroupe le Mali, le Tchad et le Burkina-Faso.
Selon la ministre de l'industrie et du commerce, le gouvernement s'emploi à mettre les outils favorisant l'industrialisation de la filière coton. "Un effort qui règle toute une problématique en termes de débouchées des produits de rente béninois", a précisé Shadiya Assouma. Pour le ministre du tourisme, de la culture et des arts, Jean-Michel Abimbola, "le coton est un produit cultuel, culturale et culturel. La route du coton est une occasion pour le Bénin de développer la route de la culture", fait-il savoir.
Les panélistes ont suffisamment abordé et ont fait des propositions sur l'industrialisation du coton et les dérivés issus de sa transformation. Le coton à lui seul structure toute la chaîne de valeur au sein de laquelle interviennent plusieurs entreprises, a relevé le ministre des petites et moyennes entreprises et de l'artisanat, Modeste Kérékou. La réflexion autour de l'or grâce au mois du consommons local a réuni entre autres les partenaires, les chefs d'entreprises, l'association interprofessionnelle du coton, représenté par son secrétaire permanent, Luc Abadassi ainsi que le président de la Ccib, Arnauld Akakpo .
Engrais et insecticides cancérigènes importés, coton brut exporté…
De quoi parlent ces pieds nickelés en cravate ?
La fortune du clan Talon et les VRP associés est dérivée de cette culture de rente …
Héritier la coloniale CFDT le clan Talon et son cartel perpétuent le pacte colonial et ils viennent amuser la galerie
Ce tonneau vide d’Abimbola aligne des mots pour ne rien dire…
Coton cultuel !!!!
Le coton deu cartel Talon/AIcest le symbole de ce qu’il ne faut pas faire pour consommer local
Le Nil a un rôle nourricier pour l’Egypte apportant prospérité au pays, il regorgeait de poissons.
Ce fleuve fertilisait la vallée du Nil permettant la prospérité agricole faisant de l’Egypte une puissance économique en Afrique, tant sur les plans agricole, énergétique, aléotique ect..
Au Benin tout laisse à croire que l’effort est vain, personne ne veut vraiment travailler , Il faut le prêt à porter, le tout fourni pour se faire des milliards. Et pourtant, la vallée du fleuve Ouémé se révèle un don de la nature à l’instar de la vallée du Nil . La vallée de l’Ouémé est connue pour être la deuxième vallée la plus fertile d’Afrique, après celle du Nil. Elle dispose donc d’atouts naturels pour devenir une zone de production agricole majeure et aider à résoudre cette problématique dont la seule initiative vise à valoriser les produits locaux à travers le coton.
Ces ministres n’y comprennent rien et ici font de la fuguration ; le coton béninois est presque à 95% exporté , et on nous parle de quoi ? Tchrous
Talon ne demande pas de vous abaisser si éhontement…
Un pseudo qui ressemble à l’homme qui se cache derrière le rideau .
L’idiot du coin vraiment !!!
Va là-bas
Tchrous
Je passais
Le Plombier
#Klébé_révélé
Tu manque d’arguments pour cet article en lieu et place de cela tu insulte
Abbêti rwandais