L’école béninoise traverse plus que jamais les moments les plus difficiles de son existence. Des statistiques récentes, il ressort que l’Etat doit recourir à plusieurs milliers d’enseignants pour assurer une éducation parfaite aux apprenants. Le gouvernement a donc préféré faire appel aux instituteurs aspirants pour combler le gap.
Une nouvelle vague d’enseignants aspirants en passe d’être envoyée dans les classes après plus d'un mois de cours. L’agence nationale pour l’emploi (ANPE) par communiqué à appeler les enseignants remplaçants retenus par le ministère des Enseignements maternel et primaire pour servir dans les Ecoles primaires publiques, pour le compte de l’année scolaire 2020-2021 à se rapprocher de ses services pour la signature de leur contrat de travail.
La nouvelle mobilisation des instituteurs suppléants cadre avec la mise en œuvre du Programme spécial de pré-insertion dans l’enseignement initiée par le gouvernement, a précisé le communiqué signé d’Urbain Amégbédji, directeur général de l’agence nationale pour l’emploi (Anpe). Les concernés sont priés de se rapprocher des antennes départementales de l’Anpe de leur lieu d’exercice, munis de leurs pièces.
A noter que l’ANPE a fait établir un planning de signature de contrat aux bénéficiaires en fonction de la circonscription scolaire de leur lieu d’exercice. Une situation qui interroge sur la qualité de l’enseignement donné aux apprenants en procédant de la sorte.
Que des plaisantins amnésiques, ce soit disant « Eveilleur de conscience » , le Flux et consorts sur ce sujet de portée nationale. A la différence de votre mentor Yayi Boni, Talon a organisé de manière rationnelle le recrutement des enseignants appelés à éduquer nos enfants. Il ne s’est pas agi de l’incurie et du désordre organisés par Yayi Boni qui laissait aux Directeurs d’écoles le soin de recruter leurs frères, sœurs et cousins, les militants FCBE titulaires de faux diplômes ou des chercheurs d’emplois qui recevaient des contrats contre rétribution (en monnaies sonnantes et trébuchantes ou payés à terme en fonction d’un pourcentage de la rémunération). Nous avons assisté en direct au Bénin à ces ignominies dont le résultat est l’abêtissement de toute une génération par le Docteur en Désordre économique YABO.
Donc, informez-vous avant de vous prononcer
Vraiment idiot pour une telle question à » mon beau-père virtuel Aziz ; et puis tu sembles oublier que le sida de nos jours est mieux soigné que le covid 19 qui lui n’a pas encore de médicaments ; agadjavi le sidéen ne pourra pas me démentir 😎😎😎
Si les enseignants sont payés au lance-pierre (mal), le Bénin n’aura pas d’enseignants de qualité. Le métier doit redevenir attractif. Quelle est la proportion des budgets du primaire, secondaire et enseignement professionnel au Bénin svp ?
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(@_@)
le sultan aziz…vient de sortir…du labo..d analyse…médicale..!!!
Youpi…youpi…je suis négatif…au covi..19….
hélas pour allomann..monwé..vive la rupture fido agadjavi….et autres guguss…qui auraient souhaiter…apprendre que le sultan…est entrain de manger..les salades par les racines
Et pour le sida, quand Auras-tu le courage de faire le test ?
On est en train de former les enfants au rabais.vraiment l’école béninoise n’est pas encore sortie de son auberge?s’il sera l’avenir de nos enfants ? avec des enseignants qui parlent le charabia
Les conséquences d’un acte ne sont pas immédiates, elles prennent du temps pour s’imposer. Toute réforme qui ne prend pas en compte les préoccupations des parties concernées est vouée à l’échec. Dans la pratique, chaque partie est tenue de jouer sa partition afin de mener à bien ces réformes. Mais lorsqu’elle est imposée par une partie, elle n’est consensuelle, mais revet le caractère d’une dictature.
Pardon cette période est révolue. Ne nous trompons pas d’époque,
Faisons attention