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Un narcotrafiquant français accusé d’assassinat risque gros

Par Fortuné Sessou
il y a 4 mois
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L’homme dont il s’agit, Ugo Marchic, un franco-italien avait déjà été condamné par la justice française en 2001 par contumace pour avoir dirigé un trafic international de stupéfiants entre des pays d’Amérique latine et d’Europe. Dans le cas actuel, il est inculpé pour le meurtre d’un compatriote en 2012 au Venezuela. Sa victime, Paul Wolnerman, était devenue alors, pour lui un homme de confiance. Il l’aurait tué et jeter le corps dans la mer qui avait fini par échouer sur une plage du pays en avril 2012.

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Connu alors sous le nom de Marco Ferrari, Ugo Marchic avait vendu les biens de sa victime après avoir caché sa disparition auprès de ses proches. Il avait été condamné à trente ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de Paris en première instance puis emprisonné en 2015 et devrait se présenter libre devant celle de l’Essonne lundi pour son procès en appel après avoir été remis en liberté en début du mois.

Il constitue un danger social constant

D’après l’avocat général, Rémi Crosson du Cormier, c’était une erreur qui avait conduit à sa remise en liberté sous contrôle judiciaire, puisque sa détention provisoire n’ayant pas été renouvelée dans les délais impartis. Cependant l’homme ne s’était pas présenté lundi à l’ouverture de son procès. L’avocat de la famille de la victime, Me Vincent Ollivier, a déploré la « lâcheté faite de duplicité et de malignité» du mis en cause.

Face à la cour d’Essonne, l’avocat général a requis trente ans contre lui et l’a justifié par le caractère « épouvantable» de l’assassinat de la victime, « tué pour être dépouillé financièrement et, comble de l’horreur, physiquement, car affreusement mutilé ». Egalement, le magistrat a demandé une période de sûreté des deux-tiers de la peine en raison du « danger social constant (que l’accusé) fait peser sur la communauté sociale où qu’il se trouve dans le monde».

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