Les soldats français participant à l’opération Barkhane au Mali sont une fois encore pris pour cible. En effet quelques jours après le décès de deux militaires, suite à une attaque à l’engin explosif improvisé, six autres ont été blessés ce vendredi. Ceux-ci ont été victimes d’une attaque avec un véhicule suicide. L’attaque s’est produite à une cinquantaine de kilomètres au sud-est de Hombori, dans la forêt d’Isey.
Les victimes évacuées à Gao
Selon la description qui a été faite de la situation, le convoi mixte franco-malien avait été infiltré par un engin explosif improvisé caché dans un véhicule léger. A en croire la précision apportée par certains médias français, le kamikaze a déclenché sa charge explosive quand un véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) s’est interposé. Les victimes sont en réalité membres du 1er régiment de tirailleurs (1er RTIR).
Parmi elles, deux ont été grièvement blessées et évacuées à Gao. Leur pronostic vital n’est tout de même pas engagé. Cette situation s’est produite quelques jours après l’annonce relative au décès de deux militaires, faite par la résidence française. Un troisième a été blessé dans cette attaque à l’engin explosif improvisé.
Plusieurs autres attaques enregistrées
Quelques jours avant, trois autres ont été tués dans les circonstances presque identiques. A en croire une annonce de la présidence française, la situation se serait produite le 28 décembre dernier. Le véhicule blindé des trois militaires « a été atteint par un engin explosif improvisé » dans la région de Hombori.
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