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Barrage du Nil : un haut responsable éthiopien accuse l’Egypte de déstabilisation

Par Benjamin Lawson
il y a 1 mois
(très populaire)
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Abdel Fattah al-Sissi (Photo AFP)

Abdel Fattah al-Sissi (Photo AFP)

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C’est un secret de polichinelle. L’Ethiopie construit sur le Nil bleu le barrage de la Renaissance que certaines personnes se plaisent à appeler barrage de la discorde à cause des tensions qu’il génère entre le pays d’Ahmed Abiy et ses voisins notamment l’Egypte et le Soudan. L’Egypte qui tire 90% de ses ressources en eau du Nil voit d’un mauvais œil la construction de ce méga-barrage. Il craint que cette infrastructure ne limite ses ressources hydriques. Le pays et le Soudan ont même évoqué leurs droits historiques sur le deuxième fleuve le plus long du monde. Ce que Addis-Abeba n’accepte naturellement pas.

Pour lui, tous les trois pays ont les mêmes droits sur le Nil. Depuis plusieurs années, les négociations entamées par les trois nations pour le partage de cette ressource d’eau piétinent. Khartoum, Addis Abeba et Le Caire tardent à trouver un accord ce qui crée un climat de suspicion. Un haut responsable éthiopien a récemment accusé Le Caire d’être à l’origine des multiples défis sécuritaires dont le pays fait face aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur depuis l’entrée en fonction du premier ministre Abiy Ahmed en 2018. L’Egypte est ainsi attaqué pour son « soutien total à l’élite anti-paix » selon ce haut responsable qui a requis l’anonymat.

Pour inciter à un changement de régime

Elle mènerait aussi une politique visant à porter préjudice aux réformes sociales, économiques et politiques mises en place par Addis Abeba.  Le but de ces manœuvres de déstabilisation serait de provoquer la faillite de l’Etat Ethiopien ou d’inciter à un changement de régime en Ethiopie. Ce qui pourrait aller contre les ambitions du pays de profiter des ressources du Nil. Le barrage de la Renaissance devrait normalement produire ces premiers mégawatts d’électricité entre janvier et février 2021. Mais faute d’un accord entre les trois capitales, l’Ethiopie patiente pour finaliser l’exploitation de l’infrastructure.

Commentaires 1

  1. (@_@) dit :
    25 janvier 2021 à 10:41

    “Le Caire…à l’origine des multiples défis sécuritaires auxquels le pays (l’Ethiopie) fait face” C’est évident
    \\\\ ///
    (@_@)

    Répondre

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