L’actualité relative à l’attentat contre le président français Emmanuel Macron continue de défrayer la chronique. En effet, trois nouvelles personnes ont été mises en examen ce vendredi 22 janvier pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle ». Conformément aux réquisitions du Parquet national antiterroriste (Pnat), les mis en cause ont été laissé en liberté. Mais ils ont été laissés en liberté sous contrôle judiciaire.
La mouvance nazie?
Les différentes personnes impliquées dans l’affaire ont été interpellées Ce mercredi en Haute-Saône, en Meurthe-et-Moselle et dans le Morbihan. La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a effectué cette opération à la demande du juge antiterroriste chargé de l’enquête. Selon les précisions qui ont été apportées sur cette affaire, plusieurs éléments de preuve indiquent qu’un de mis en cause serait partisan de « la mouvance d’ultradroite, voire nazie ».
Des armes ont été découvertes
Une quantité non négligeable d’armes ont été découvertes lors des interpellations. Cette nouvelle mise en examen amène le nombre de personnes impliquée dans l’affaire à 12. L’un des éléments ayant motivé la poursuite de l’enquête est l’attitude adoptée par un des administrateurs de groupe Jean-Pierre Bouyer. Ce dernier qui est un retraité isérois s’était rendu dans l’est de la France où Emmanuel Macron se trouvait pour son périple mémoriel sur le centenaire de la fin de la Grande Guerre.
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