Le ministre béninois des finances s’est entretenu par visioconférence avec les membres de la Coordination Nouveau départ de la Diaspora hier dimanche 07 mars. Romuald Wadagni a saisi l’occasion pour donner quelques éclaircissements sur l’affaire Carlos Adohouannon, du nom de cet ex-régisseur des impôts accusé d’avoir détourné des milliards de FCFA. Le ministre des finances a notamment expliqué pourquoi le montant réel des fonds volatilisés n’a pas pu être déterminé avec précision.
"Puisqu’il s’agit de l’argent des travailleurs, la comptabilité publique n’a pas de vision sur ça"
Selon l’argentier national, les équipes de l’administration des impôts obligent les contribuables à payer des impôts et des pénalités lors des contrôles, si ceux-ci n’honorent pas leurs engagements vis-à-vis du fisc. Une partie de ces pénalités est utilisée pour payer des primes de motivation aux travailleurs de la direction générale des impôts. Ceux-ci gardaient « l’argent en espèces et se partageaient périodiquement les primes…Puisqu’il s’agit de l’argent des travailleurs, la comptabilité publique n’a pas de vision sur ça. Il n’y a pas un report à nouveau. Il n’y a pas une traçabilité depuis des décennies que ça existe, pour savoir le solde » a-t-il expliqué.
Une gestion manuelle et archaïque des fonds
L’argentier national précise par ailleurs que cette pratique est encadrée par des textes. En somme, l’argent détourné appartenait aux travailleurs et est utilisé pour le paiement progressif de primes. Ce n’est donc pas des fonds du trésor public, assure Romuald Wadagni. Il impute le mystère autour du montant réel détourné à une gestion manuelle et archaïque des fonds en question.
C’est très dommage de voir une telle compétence au service d’un tricheur , truqueur et corrupteur en tout genre. Donc dans ce pays il y a des oasis de pognons ou l’on peut puiser sans que l’on sache combien !!
Ce gouvernement on a renvoyé des directeurs d’école pour un bol de riz. Et nous voila avec des milliards en divagation sans propriétaire dans les locaux du ministère des finances d’un régime qui se réclame champion de la bonne gouvernance. C’est horrible pour une administration qui lutte contre la corruption. S’il n y a pas de comptabilité , c’est que vous n’avez rien perdu et donc , il n y pas de crime et par conséquent pas de criminel. Libérez alors Adouhounanon.
Le Pr Soglo a dit que nous avions refuse la francafrique mais nous sommes trombes sur la mafia. C’est bien vrai
le deni….l’arrogance…la ruse et la rage…le cynisme….sont des pathologies…typiquement beninoises
allomann…et ses amis…sont atteints d’un vi rus…plus que le covi..19…
Ce sont des enfants perdus de la république
Que peut on faire d’eux dans quelques…jours…?….
faire comme hitler avec les chambres…à ga z…..?…
On verra…bien
« race de béninois…jaloux du succès de son prochain…prêt à le tuer à cause de sa réussite…questions mortifères… » Odjié !!
« saluer la qualité de la signature du Bénin » Ok, bon après signature là, l’argent va où ? C’est ça que je demande. Et ceux qui vont devoir rembourser aussi. Mdr ! « Richesse » là, On n’a pas vu encore 🙂 🙂
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(@_@)
Alloman !! put… tu déchires la vérité 🙂
Toi, le zangbeto qui te cache sous (@_@), tu fais partie de cette race de béninois, toujours soupçonneux, jaloux du succès de son prochain, prêt à le tuer à cause de sa réussite, toutes attitudes qui ont toujours causé le retard de notre pays, nonobstant la qualité de nos ressources humaines. Au Sénégal où je vis ou en Côte d’Ivoire, personne ne viendra poser ces questions mortifères mais plutôt saluer la qualité de la signature du Bénin qui a permis d’obtenir ces financements. Reportez-vous un peu aux comptes rendus que la presse dans ces pays fait des mobilisations de ressources sur le marché financier régional (saluant les performances de leurs pays), et comparez les aux commentaires injurieux et nauséabonds de la presse béninoise, dès que les résultats des adjudications sont connues. Vraiment lamentable, cet état d’esprit teinté de malveillance indécrottable, inhérent à l’espèce Béninois ou Dahoméen qui ne souhaite que la chute et la perte de son frère.
Je te conseille de te reporter à Financial Afrik ou au Financial Times pour connaître les bailleurs ayant participer à la levée des eurobonds par le Bénin.
« le zangbeto » 🙂 🙂 ALLOMAN !! Toi aussi ! Tout ça pour moi ?
Je travaille à faire ma « culture financière » 🙂 en posant des questions !
Des choses qui sont publiques et même communiquées par les ministères dans d’autres pays relèvent des Zangbétos au Bénin ? 🙂 🙂 Mdr !
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(@_@)
Coordination Nouveau départ de la Diaspora?
Encore une bande de nécessiteux vivant d’allocs en France et ailleurs…
Quant à Romuald, il viendra dire demain qu’il n’avait non plus aucune idée de la destination finale des emprunts faits au nom du Bénin.
Kast, voyons ! On a dit « richesse, asphaltage, intrastructures » 🙂
Qu’est-ce que tu peux être soupçonneux quand même.. 🙂
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(@_@)
Quelqu’un sait s’il en a profité pour flécher l’utilisation des emprunts répétés du Bénin ? Si on pouvait connaitre aussi les noms des fonds privés qui prêtent au Bénin et qui les détient ? Comment ils sont abondés ? 🙂 🙂
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(@_@)