Les galipettes attribuées au vice-président zimbabwéen Kembo Mohadi auront finalement eu raison de lui. L’homme politique a annoncé sa démission après les récentes révélations de la presse sur les nombreuses suspicions d’harcelements sexuels qui pèsent contre lui.
« Je démissionne de mes fonctions de vice-président de la république du Zimbabwe (…) avec effet immédiat… J’ai besoin de prendre du recul pour faire face à mes difficultés en dehors de mes fonctions… Je suis victime de manipulations d’information, de déformations d’enregistrements, d’espionnage et de sabotage politiques… l’interconnectivité avec l’écologie des réseaux sociaux qui ont relayé de façon virale des éléments de panique morale, tout en faisant circuler des mensonges, des mythes créés de toutes pièces, de façon à salir la réalité de ma vie d’homme dédié à ma famille » a déclaré M. Kembo Mohadi âgé de 71 ans dans une lettre diffusée sur la toile. Le désormais ex-vice-président était un proche de l’ancien président Robert Mugabe dont il avait été le ministre.
Selon les révélations de la presse, le vice-président avait des relations dans ses bureaux avec notamment des femmes mariées. Il a pour l’heure nié toutes ses révélations.
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