Il y a eu démission à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Le juge Essowé Batamoussi a déposé le tablier et n’est plus au Bénin. Reçu par RFI, il a fait des révélations sur des dossiers qui sont à la CRIET. Le désormais ancien juge membre de la chambre des détentions et des libertés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) laisse entendre qu’il n’est pas libre dans l’exercice de sa fonction.
Selon lui, la CRIET n’est pas une juridiction indépendante et les décisions qui seraient prises à la CRIET l’auraient été sous pression. Comme exemple, il cite le cas de Réckya Madougou. Pour rappel, l’ancienne ministre est en détention provisoire pour des faits d’«association de malfaiteurs et financement du terrorisme ». A en croire le juge démissionnaire Essowé Batamoussi, elle ne devrait pas être placée sous mandat dépôt. «Dans ce dossier, nous avons été sollicités par la chancellerie car le dossier ne comportait aucun élément qui pouvait nous décider à la mettre en détention provisoire », confie-t-il au micro de RFI.
«Il y a eu pas mal de dossiers où nous avons reçu les instructions de la chancellerie »
Il assure que ce n’était pas la première fois. «Il y a eu pas mal de dossiers où nous avons reçu les instructions de la chancellerie », précise Essowé Batamoussi. Il relève qu’il n’est pas politicien et qu’il ne parle que de la maison justice. Pour lui, ce qu’il dénonce c’est dans l’intention d’aider les collègues qui y sont actuellement et qui sont sous pression et d’amener «le peuple à savoir qu’ils n’agissent pas de leur propre gré mais qu’ils ont la pression du pouvoir ».
C’est un acte politique orchestré par Les Démocrates à la veille des élections présidentielles.
Une opposition aux aboies
Le Plombier universitaire
La criet est une cour aux ordres et nous ne voulons pluss ça dans notre pays et vous qui supportez le faux c’est votre affaire et le peuple Béninois souverain entrain de prendre son destin en main.
Ce petit juge payé par Yayi Boni et consorts ne nous apprend rien sur le fonctionnement de la justice. Dans tous les pays du monde, la Chancellerie intervient pour donner des ordres sir tel ou tel dossier. Il appartient au Tribunal de trancher en toute impartialité. Un non événement.
Depuis cette affaire de reckya madougou, c’est Rfi et le 5 avril que ce juge choisit pour faire de telles déclarations? Il faut plutôt douter de l’intégrité et de l’indépendance de celui-là
on voit bien…que les ab solustistes…notoires sont limités intellectuellement
C’est d’abord eux…..la republique….le vivre ensemble…viendra apres
Ne croyez…pas qu’ils le font express…..!! non…!!!!
Ils sont programmés génétiquement comme ça…..
Quel est ce sort du destin…..qui nous met ensemble avec des gens pareils…
C’est quand même étonnant qu’à quelque jours des élections, un juge s’exile et prétend dénoncer une justice sous ordre !
J’attends les réactions de d’autres juges de la Criet avant de croire ce que dit Essowé Batamoussi….
Je n’étais pas au début pour l’incarcération de Madougou mais la suite des événements me donnent tort. En réalité, cette dame a déjà tissé sa toile dans les sphères de la République et attendait tranquillement son heure pour frapper. L’épisode de ce juge félon n’est qu’une des manifestations du complot de Madougou et ses amis.
Suivez l’enchaînement dans la chronologie des évènements et on se rend très vite compte de la machination grotesque en dessous. Quelques tondus pelés se donnent en spectacle à Paris et 24 heures après un malheureux juge vendu fse retrouve en France (encore) pour dénoncer soit disant des pressions politiques sur l’appareil judiciaire. C’est trop gros hein😀
Et voilà un qui éclaire plus notre lanterne.
C’est un coup de Trafalgar. Il faut tout faire pour sauver le soldat Madougou et tous les coups sont permis même en dessous de la ceinture.
Quel con ce type.
A t-il une famille ; une femme et des enfants.
Il goûtera aux délices de la galère en France
Bienvenue enfoiré
Tchrous
Le Plombier universitaire