Meghan Markle : une journaliste virée pour des tweets racistes ciblant sa fille

Il y a quelques jours, le monde entier recevait la nouvelle de la naissance d’un autre enfant du Prince Harry et de Meghan Markle. La presse britannique la première s’était faite le relais de la nouvelle, alors que le bébé naissait dans une clinique de Los Angeles. Une naissance qui avait fait couler beaucoup d’encre notamment sur le prénom que l’actrice a choisi pour son enfant. Mais sur Twitter, Julie Burchill, journaliste au quotidien britannique, le Daily Telegraph, a fait une remarque abondamment critiquée par les internautes. Ce Mardi, la journaliste annonçait s’être faite, à cause de cela, renvoyer de l’organe de presse.

« J’ai été limogée par le Telegraph, (…) Plus loin, plus haut! »

Le duc et la duchesse de Sussex ont annoncé vendredi dernier la naissance de leur fille en Californie. Le nom du bébé Lilibet Diana Mountbatten-Windsor, faisant référence à la fois à sa grand-mère, la princesse Diana, et à son arrière-grand-mère, la Reine Elisabeth II d’Angleterre. Mais la décision de Meghan et Harry de nommer ainsi leur enfant, a fait sourciller en ligne. Car ‘’Lilibet’’ était le surnom familial de la reine et le nom avec lequel le défunt mari de la souveraine, le prince Philip, avait l’habitude de l’appeler. Cependant si le nom choisi avait quelque peu surpris, les internautes n’avaient pas apprécié la remarque de Julie Burchill.

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Après que le duc et la duchesse aient annoncé l’événement, Burchill a écrit sur Twitter : « Quelle opportunité manquée ! Ils auraient pu l’appeler Georgina Floydina ! » En référence à George Floyd, et à son assassinat à Minneapolis, qui avait déclenché des protestations mondiales, notamment au Royaume Uni. Un tweet qui a été suivi de réponses à des commentaires tout aussi tendancieux. Ce mardi, Burchill a elle-même annoncé sur Facebook : « J’ai été licenciée par le Telegraph (Daily Telegraph ndlr). Cela fait cinq belles années, et je leur serai toujours reconnaissante d’avoir mis fin à mes années de désert (…). Plus loin, plus haut! ».

L’Organe de presse n’a cependant pas encore confirmé le départ de la pigiste, surtout qu’elle y travaillait surtout en tant que contributeur externe, plutôt qu’en tant que membre du personnel. Et Julie Burchill, contrairement à certaines personnalités qui avaient commenté sa publication comme l’avocate Joanna Toch, n’a pas présenté d’excuses publiques.

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