Emmanuel Macron répond à ses détracteurs. En effet, alors qu’il se trouvait dans les Hautes-Pyrénées, le chef de l’État a été très clair. Selon lui, ses opposants n’ont pas à évoquer le terme de dictature à l’heure ou le pass sanitaire est devenu obligatoire quasiment partout, rendant le vaccin essentiel pour continuer à profiter des plaisirs de la vie.
Interrogé à ce sujet, Emmanuel Macron a semble-t-il paru agacer des reproches qui lui sont faites, affirmant tout simplement qu’une dictature, ce n’était pas du tout ce à quoi les français témoignent en ce moment même. Il a profité de cette occasion pour rappeler qu’absolument tout était encore en libre accès.
Macron répond à ses détracteurs
Les élections sont toujours organisées, les libertés sont garanties, les vaccins ainsi que les tests PCR sont eux aussi gratuits (jusqu’à octobre pour les tests) et ne sont pas obligatoires en tant que tels. Malgré tout, l’annonce survenue il y a quelques jours, au cours de laquelle Emmanuel Macron a confirmé que le pass sanitaire serait obligatoire dans de nombreux cas, n’est pas passée inaperçue.
Le chef de l’État évoque une contrainte légère et le civisme des citoyens
Or, contrairement au confinement, le chef de l’État a évoqué ici, une contrainte plutôt relative, légère. Il a ainsi parlé de civisme plutôt que d’obligation, laissant sous-entendre qu’une fracture entre les populations vaccinées et les populations non-vaccinées aurait pu se faire ressentir avec le temps. À ce jour, plusieurs millions de rendez-vous ont été pris en l’espace de quelques heures, relançant la campagne de vaccination en France, qui s’était quelque peu ralentie.
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