Nicéphore Soglo continue de recevoir les messages de condoléances après le décès de son épouse Rosine Vieyra Soglo, le 25 juillet dernier. L’un des derniers en date est celui du Monseigneur Barthélémy Adoukonou. Le secrétaire du Conseil pontifical pour la culture a salué la mémoire d’une femme « battante ».
Il a imploré la grâce de Dieu sur la famille de la défunte
« La grande battante vient de déposer les armes et ne pouvait être que dans les mains du Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui reste égal à lui-même dans son engagement d’amour pour la liberté de tout homme, de toute race » a écrit celui qui a été fait évêque par le Pape Benoit XVI en octobre 2011. Le prélat a ensuite exprimé sa compassion à la famille de la défunte et a imploré la grâce de Dieu sur elle. Le décès de Rosine Soglo avait entraîné un tourbillon d’hommages venant de la classe politique béninoise .
Patrice Talon, l'actuel chef de l'Etat béninois a par exemple, salué la mémoire d’une femme exceptionnelle. Boni Yayi, l’ancien locataire de La Marina a reconnu quant à lui, les mérites d’une « intrépide patriotes (qui) a été de tous les combats pour l’épanouissement de la Femme Africaine) ».
« La grande battante vient de déposer les armes et ne pouvait être que dans les mains du Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui reste égal à lui-même dans son engagement d’amour pour la liberté de tout homme, de toute race »
Pour mon saigneur Adoukonou, les mains du Père sont facilement accessibles aux saigneur des économies de leurs pays comme Rosine.
Voilà la mentalité des hommes qui nous parlent de Dieu.
On dirait que c’est lui qui dicte au Père, ceux qu’il doit recevoir dans ses mains.
Il a oublié une chose, même son très supérieur, le cardinal Gantin, dans sa dernière interview, avait demandé que tout le monde prie constamment pour lui quand il ne sera plus de ce monde… D’implorer le pardon de Dieu pour son âme.
Si l’accès aux mains du Père est si facile, ce grand cardinal n’aurait pas fait une pareille demande