La pandémie de coronavirus (covid-19) serait la première d’une série de réactions hostiles de la terre contre les humains. C’est du moins ce qu’on peut comprendre de la tribune écrite par le scientifique et écologiste âgé de 102 ans James Lovelock, publiée par le média britannique The Guardian.
« Gaïa fera plus d’efforts la prochaine fois »
Selon lui, la planète pourrait s’organiser contre les humains qui sont les auteurs du changement climatique. Il fait en effet savoir qu’après le coronavirus, la terre réagira plus durement. « Le virus Covid-19 pourrait bien avoir été un retour négatif. Gaïa fera plus d’efforts la prochaine fois avec quelque chose d’encore plus méchant » a laissé voir James Lovelock. Pour ce dernier, les « humains doivent apprendre à vivre en partenariat avec la Terre, sinon le reste de la création, faisant partie de Gaïa, déplacera inconsciemment la Terre vers un nouvel état dans lequel les humains pourraient ne plus être les bienvenus ».
Un équilibre perturbé par l’humanité
L’écologiste a par ailleurs laissé voir que la biosphère ou ce que les anciens nommaient Gaia, maintient et régule la température de la surface ainsi que la composition de l’atmosphère terrestre. James Lovelock a estimé que cet équilibre a été perturbé par l’humanité, avec deux évènements à savoir : « l’étouffement par les gaz à effet de serre et le défrichement des forêts tropicales ». D’après lui, ces derniers ont entraîné des changements qui n’ont jamais été observés « depuis des millions d’années ».
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