Les impacts du COVID-19 sur les crédits et les prêts

La pandémie du COVID-19 a eu de multiples impacts à tous les niveaux, tant économiques que sociaux et politiques. Les confinements à répétition, les activités tournant au ralenti, les fermetures de frontières, etc. Tous ces éléments ont potentiellement impacté les risques liés aux crédits et la volonté des prêteurs d’accorder des fonds. Dès lors, quels sont les impacts du COVID-19 sur les crédits et les prêts ?

Accès aux prêts personnels VS crédits hypothécaires et automobiles

De manière générale, une double tendance s’est révélée cette dernière année. D’un côté, l’accès aux prêts personnels a diminué pendant la pandémie. Mais de l’autre côté, il a augmenté pour les prêts hypothécaires et les prêts automobiles.

Publicité

Concernant la part des nouvelles demandes de prêt approuvées et le montant accordé, aucun changement majeur n’est à noter. En effet, contrairement à la dernière récession (à la fin des années 2000), les créanciers n’ont pas réduit l’accès aux prêts pour réduire leur risque. En revanche, de nombreux consommateurs n’ont pas pu bénéficier d’une augmentation de leur limite de crédit. 

Si vous voulez souscrire un prêt immobilier ou automobile, vous avez donc vos chances. Vous pouvez alors visiter un site comparateur pour trouver une banque en ligne qui vous accordera un prêt adapté à vos besoins.

Octroi de crédits avant et pendant la crise

Analysons maintenant quelques chiffres concrets. Plus précisément, voyons quelle part des demandes de renseignements ont effectivement abouti à l’octroi d’un prêt.

On constate que pour les demandes concernant un prêt automobile ou hypothécaire, le début de la pandémie a marqué le début d’une hausse significative. On observe un passage de 45 à 55 % de demandes abouties pour les crédits auto entre février 2020 et février 2021 (et de 50 à 55 % pour les prêts immobiliers). Ainsi, même s’il y a eu une baisse légère et transitoire en mars et avril 2020, les taux de réussite pour les demandes de prêts automobiles et hypothécaires étaient bien au-dessus des niveaux pré-pandémiques en février 2021.

Publicité

La tendance est différente au niveau des demandes de prêts personnels ou d’augmentation des limites de crédit, chutant de 45 % d’octroi à seulement 30 % en mars 2020. Cette baisse s’est ensuite suivie d’une stagnation sur tout le reste de la période, contrastant avec la hausse observée pour les prêts cités précédemment.

Comment expliquer la baisse des prêts personnels ?

Le volume des demandes de prêts personnels a considérablement diminué au début de la pandémie et ne s’est pas redressé avant mars 2021. Il est donc probable que les consommateurs ayant demandé ces crédits pendant la crise aient un profil différent des demandeurs « habituels ». Cela pourrait expliquer en partie la diminution des taux de réussite.

Si vous avez besoin d’un crédit rapide et pensez avoir un dossier satisfaisant, vous pouvez donc tenter votre chance. Allez par exemple sur ce site pour obtenir un crédit en ligne en 24 heures.

En d’autres termes, les prêteurs n’ont peut-être pas modifié leurs critères de crédit, mais ils rencontrent moins de demandes ayant une forte probabilité de réussite.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité