Alors que la France est en grande difficulté au Sahel, en Centrafrique, les choses ne sont guère mieux. Il y a quelques heures on apprenait l'arrestation de 4 militaires français. Ces derniers étaient normalement chargés d'escorter un général de la MINUSCA, la force de l'ONU pour la paix en Centrafrique. Quelques heures après leur arrestation, des rumeurs de tentative d'assassinat du président Touadéra par ces militaires ont fait le tour de la toile. Une information non confirmée par les autorités, mais que Paris qualifie déjà de calomnie.
L'information de l'arrestation des 4 militaires français a été confirmée par l'ambassade française dans un communiqué : « L'équipe de protection rapprochée du général (Stéphane) Marchenoir, chef d'état-major de la Force de la Minusca (Mission des Nations unies en Centrafrique), composée de quatre militaires français, a été arrêtée cet après-midi à l'aéroport de Bangui ». Mais ce qui irrite encore plus la France c'est la multiplication des publications accusant ces hommes d'avoir voulu assassiner le président centrafricain. Une information que les autorités françaises qualifient de fausse, mais que plusieurs internautes semblent croire.
Les déboires de la France en Afrique
« Ils étaient à l'aéroport pour escorter le général, c'est un concours de circonstances qui a fait qu'au même moment, l'avion du président Touadéra atterrissait... Sans raisons particulières, ils ont été arrêtés par la gendarmerie centrafricaine alors qu'ils se trouvaient près de l'aéroport et des accusations relatives à une tentative d'attentat ont été portées via les réseaux sociaux » a réagi l'armée interrogée par la principale agence de presse du pays. La Minusca abonde dans le même sens et refute toute tentative d'assassinat du président centrafricain.
Paris accuse encore des groupes d'influence russe de vouloir saper sa réputation déjà ternie dans le pays et soutient que Bangui est complice de ces rumeurs. Ce n'est pas la première fois que Paris porte de telles accusations contre les groupes russes et les autorités en Afrique. Au Sahel, notamment au Mali, au Niger et au Burkina, un fort sentiment anti-armée française a également prévalu et prévaut toujours sans que Paris n'arrive à s'y défaire. Pour rappel, en Centrafrique, avec l'aide des russes, les militaires centrafricains ont repris le contrôle de plusieurs villes et bastions contrôlés jadis par les rebelles, comme le confirment plusieurs médias français.
@AHEHENOU « expulser la France de la Centrafrique »
– Tu penses que la solution pour l’Afrique, c’est de s’occuper de la France ?
– Faire de la place à des mercenaires qui se font payer pour piller, **** et ***** des africains sans rendre compte à personne ?
C’est ça l’avenir fantasmé de l’Afrique ?
Retourner aux années 60 (putsches, mercenariat, pillage des ressources du pays) ?
Une vision de la société WAGNER. bien plus que de simples mercenaires :
https://www.youtube.com/watch?v=h-QZU_mgW0M
Si pas le temps de tout regarder, aller à 1:17. L’Afrique là dedans, c’est juste un marchepied et elle paye pour ça.
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(@_@)
Une seule solution : expulser la France de la Centrafrique.
Le lendemain de la diffusion d’un reportage de fond sur Wagner, en guise de contre-attaque de la France sur le terrain informationnel (« France bashing »)
Super intéressant :
https://twitter.com/France5tv/status/1495450173870387207
https://www.youtube.com/watch?v=Nl4cRvCnoVQ
La Russie riposte. Classique
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(@_@)
Que l’on chasse tous ces militaires cri***nels y compris la minusma de l’ONU de l’Afrique.
Ici, il s’agît de MINUSCA(CENTRAFRIQUE), et non MINUSMA(MALI).
Oui, je suis d’abord avec toi, c’est en Afrique qu’ils viennent montrer leurs muscles 💪 💪. Ailleurs, ils fuient les confrontations directes.
Le loup est toujours dans la bergerie.
L’Afrique aux Africains en Afrique.
Surprise surprise
Il a fallu l’arrivée des Russes pour reprendre le contrôle du pays, alors que des années durant, les armées françaises et onusienne patrouillaient le pays et assistaient les rebelles dans leurs sales besognes tout en volant le pays.
selon le site Centrafriquenews, ces 4 militaires français feraient partie de l’équipe de protection rapprochée du général Marchenoir, chef d’état-major de la Force de la Mission des Nations unies en Centrafrique, a-t-on également appris.
Mais sur ces quatres militaires arrêtés, on aurait découvert des documents les identifiant comme étant de la MINUSCA avec des noms russes, des talkies-walkies de DETAO, et des tenues arborant le drapeau français.
La tentative d’assassinat s’est produite autour de 17 h 20 alors que l’avion de la compagnie Asky qui transportait le président Touadera, en provenance de Bruxelles, venait à peine de se poser sur le tarmac de l’aéroport de Bangui M’Poko.
Une fois descendu, le chef d’Etat centrafricain s’est installé à bord de son véhicule de commandement. C’est au moment où le cortège devait démarrer qu’un élément de la sécurité présidentielle a remarqué la présence d’une autre voiture stationnée dans le périmètre de sécurité.
Selon Centrafriquenews, il s’agirait d’un véhicule blindé V8, de la même marque que celui du président.
L’alerte est alors donnée et l’ordre est donné aux occupants de descendre. Ces derniers obtempèrent après un premier refus.
La sécurité du président Touadera découvrira tout un arsenal composé en leur possession selon une source, à savoir une caméra infrarouge dotée d’une loupe de précision connectée par Bluetooth, des armes de type DKM, des fumigènes, etc. Les occupants sont neutralisés de même que deux snipers sont interpellés du côté de la base militaire française de M’Poko.
Les quatre militaires étaient toujours dans les locaux de la gendarmerie centrafricaine dans la soirée où ils subissaient un interrogatoire, selon la presse locale et un responsable de l’état-major des armées françaises à Paris.
Nous y reviendrons.
Eric Lassale
Et..Tchite..notre pkapkato..national..de me cabler tôt ce matin..pour m informer..que @_@..fait partie..des gens alpagues.par les méchants pandores.centrafricains
Il n’y a pas de fumée sans feu 🔥. Des barbouzes de la France avaient déjà été pris la main dans le sac, à plusieurs reprises dans ce pays, avec des armes de pointe.