Après quelques jours dans le coma, le boxeur indonésien Hero Tito a finalement rendu l’âme. Selon les informations rapportées sur cette situation, il serait tombé au cours du combat qu’il a livré contre son compatriote Mokoginta le 27 février dernier. Il a été mis à terre après un uppercut brutal au septième tour du combat. Après les premiers soins prodigués par les secours, il a été évacué dans un hôpital en urgence.
Il a malheureusement rendu l’âme le 7 mars dernier. Suite à son décès, l’une de ses collaboratrices est revenue sur les conditions de son décès. Au nom de son épouse, Rosa Kusuma a publié une déclaration dans laquelle, elle exprimait sa reconnaissance envers celles et ceux qui l’ont soutenu. « Merci pour toute votre gentillesse envers nous et notre famille. », a-t-elle déclaré en signe de reconnaissance.
De l'argent pour construire sa maison
Toujours selon la déclaration de cette dernière, il avait tenu à combattre pour pouvoir utiliser les ressources dans le cadre de la construction de sa maison. « Il n'a pas bougé, car il s'est dit qu'il avait besoin d'argent pour construire sa maison. En plus, selon lui, le match en Australie ne sera que de six tours, donc il considère que c'est quelque chose qui n'est pas trop lourd. », a-t-elle poursuivi.
Sport de dégénérés… Se cogner sous les cris et applaudissements des sadiques sans aucun différend préalable
Non « la Foudre », Sports de combat et Arts Martiaux ne sont pas pour les dégénérés, même au niveau professionnel.
Ils ont socialement un rôle de socialisation et de canalisation de la violence en la codifiant pour les amateurs, dans des formes qui protègent la santé
Pour l’élite des professionnels, lorsque les sports de combat sont pratiqués selon les règles internationales, au delà de donner à voir le haut niveau aux amateurs et au public, les sports de combat sont pour les pratiquants très souvent d’extraction pauvre, un moyen de promotion sociale
Je connais ce milieu en Asie et la pauvreté, la corruption et le niveau moyen d’éducation dans ce milieu fait que les règles de base de protection de la santé, ne sont pas respectées, comme en Afrique où on fait compétir des femmes enceintes :
-Nombre de KOs à la tête
-intervalles de récupération entre les combats,
-suivi médical tout au long de la carrière (électro encéphalogramme, électrocardiogramme, scanners réguliers du cerveau avant chaque combat), etc…
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