Trump accusé de viol : un juge rejette une requête contre la journaliste

L’ancien président américain continue de faire la une des médias internationaux. Le nom magnat de l’immobilier devenu 45è président de la république aux USA est très souvent évoqué dans les médias même après son départ de la Maison-Blanche. Hier vendredi, une affaire dans laquelle l’ancien président est cité a été présentée devant un tribunal aux USA. Il s’agit de l’affaire de viol dans laquelle Trump est cité. Un juge en charge de l affaire a infligé un nouveau camouflet à l’ancien président.

L’affaire de viol dans laquelle Trump est cité fait couler beaucoup d’encre et de salive. En janvier dernier, Trump avait décidé de déposer une contre poursuite accusant la journaliste E. Jean Carroll d’avoir porté de fausses accusations et d’avoir intenté une action en justice sans fondement « dans le seul but de harceler, d’intimider, de punir ou d’entraver de manière malveillante » les droits du premier amendement de Trump. Hier vendredi, le juge en charge du dossier, Lewis Kaplan a rendu une décision défavorable pour l’ancien président selon nos recoupement d’informations.

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Selon nos sources, à travers une décision cinglante de 23 pages, le juge de district américain Lewis Kaplan a rejeté la requête de Trump. Il a fustigé des manœuvres de l’ancien président visant à retarder l’affaire. « Prises ensemble, ces actions démontrent que les tactiques de litige de l’accusé ont eu un effet dilatoire et, en effet, suggèrent fortement qu’il agit dans un fort désir de retarder toute opportunité que la plaignante pourrait avoir de présenter son dossier contre lui », a écrit le juge Kaplan, qui a été nommé par l’ancien président Clinton. De son côté, Alina Habba, une avocate représentant Trump, a déclaré qu’elle continuerait à lutter contre le procès de Carroll.

« Bien que nous soyons déçus de la décision de la Cour aujourd’hui, nous attendons avec impatience de plaider cette action et de prouver au procès que les allégations du demandeur n’ont absolument aucun fondement en droit ou en fait« , a déclaré Habba dans un communiqué envoyé par courrier électronique. Pour rappel, alors que Trump était encore en fonction, il a demandé au ministère de la Justice d’intervenir en son nom et de le représenter dans l’affaire.

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