Enfants de djihadistes : Macron appelé à rapatrier les français « prisonniers en Syrie »

Le collectif de familles et proches de jihadistes français a lancé ce mercredi un appel à l’endroit du président français Emmanuel Macron. Il s’agit d’une association qui a en son sein un nombre non négligeable de femmes de djihadistes. Elle compte également 200 enfants français retenus dans des camps dans le Nord-Est syrien. Par le canal d’un communiqué, ce creuset a demandé au nouveau président français de jeter un regard envers les enfants « prisonniers en Syrie ».

La demande est en lien avec leur rapatriement vers la France pour une meilleure prise en charge. « Il est grand temps de changer de direction, et de donner à ces enfants, qui sont aussi des victimes de Daech, leur chance », martèle notamment le communiqué. Le collectif insiste en effet sur la nécessité pour la France d’emboîter les pas à l’Allemagne et de se conformer aux accords internationaux.

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« Il est grand temps de leur accorder la protection… »

« Il est grand temps de leur accorder la protection que méritent tous les enfants », « de se conformer à nos engagements internationaux, et de respecter notamment la Convention internationale des droits de l’enfant  dont la France est signataire », a notamment poursuivi le communiqué de ce collectif. Rappelons que cet appel intervient quelques jours seulement après la réélection d’Emmanuel Macron à la tête de la France. Lors du face-à-face qu’il a eu avec Marine Le Pen, Emmanuel Macron a annoncé qu’il ferait de la protection de l’enfance son cheval de bataille au cours de son prochain quinquennat.

C’est un fait, bon nombre d’armées européennes ne sont pas prêtes à se lancer dans un conflit à haute intensité. Aujourd’hui, le manque de moyen se fait cruellement ressentir. Entre armement lourd et munitions, certains pays sont même dans des situations pour le moins très complexes… De plus en plus… Lire la suite

Une réponse

  1. Avatar de Samuel
    Samuel

    C’est trop tard. Ces femmes pouvaient accepter d’être séparées de leurs enfants, ou de les voir souffrir avec elles. Elles ont eu le choix, maintenant leurs enfants en paient le prix. On ne veut pas reprendre ces futurs djihadistes. C’est trop tard.

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