Au Bénin, la police a mis la main sur deux agents de santé pour détournement des fonds destinés aux crieurs publics mobilisés dans le cadre de l'acte 1 de la campagne de vaccination contre la Covid-19. Ces deux agents de santé sont en service à Adja-Ouèrè. Ils auraient pu faire uniquement l'objet de sanctions administratives puisque qu'une procédure administrative disciplinaire avait été engagée contre eux. Mais entre-temps, la communauté a déposé une plainte au commissariat de Tatonnoukon.
Des fonds de l'Etat
C'est ainsi que ces agents ont été arrêtés et placé en garde à vue dans ce commissariat selon le journal Le Matinal qui rapporte l'information. Les fonds qu'ils sont accusés de détourner ont été mis à la disposition des centres de santé par le gouvernement au profit les crieurs publics mobilisés dans le cadre de la campagne de vaccination contre la Covid-19. Ces crieurs publics ont pour rôle de porter le message de la vaccination à la population et de les inviter à sortir se faire immuniser. Inutile de rappeler que le gouvernement a lancé l'acte 1 de la campagne de vaccination contre la Covid-19, le 29 mars 2021.
Le 16 novembre de la même année, l'acte 2, c'est à dire, la campagne de vaccination dite « accélérée » a débuté. Actuellement, la situation sanitaire n’est plus inquiétante au Bénin, en témoigne les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En effet, au cours des derniers 24 heures, le Bénin a enregistré zéro décès dû à la Covid-19. Le nombre de cas confirmés est de 26.593 et le nombre de décès de 163.
Cette covid a été sur le plan mondial, une excuse pour voter les caisses de l’état (des états) partant des plus grands politiques aux soiyants des hôpitaux, commençant par les grands groupes pharmaceutiques.
Même constat au niveau des crieurs public de la commune de Zogbodomey où depuis le début de la campagne de vaccination contre la Covid-19 jusqu’à la fin de la campagne, n’ont rien perçu. De même pour les agents de la campagne de vaccination contre la Covid-19 qui n’ont perçu qu’une fois de l’argent depuis le 14 janvier. Des dettes par ici et par là leurs soûle le cou. Sans défense on ‘e compte que sur les journaux pour dénoncer les cas de payement de la campagne qui à déjà finir mais pourtant des agents sont restés impayé.